Archives des articles tagués avocat

I – Seul le moteur de Google se permet de camoufler les escroqueries, à la demande « légale » des escrocs

Quand cet article est paru en 2014 : « 2014 – Pascal Koerfer, avocat de ma mère mais complice actif des abus de faiblesse qui ont abrégé sa vie« , il arrivait en 3ème position dans Google par une simple recherche sur son nom. Aujourd’hui, il n’apparaît plus du tout ! Mais si l’on prend Bing, le moteur de recherche de Microsoft, comme par magie le voilà de retour en 4ème position ! On trouve même en 15ème position :

Pascal Koerfer | jpdelespinay
https://jpdelespinay.wordpress.com/tag/pascal-koerfer 
Articles traitant de Pascal Koerfer écrits par Jean-Philippe de Lespinay

Avec l’excellent moteur de recherche Qwant, qui a le mérite d’être français (cocorico !), on trouve l’article en 6ème position et en 14ème position la même chose qu’avec Bing :

Pascal Koerfer | jpdelespinay
jpdelespinay.wordpress.com/tag/pascal-koerfer
Articles traitant de Pascal Koerfer écrits par Jean-Philippe de Lespinay

Google camoufle  donc les escroqueries de l’avocat Pascal Koerfer en rendant invisibmes articles sur lui, dont celui qui rend compte de la décision de justice le déboutant de sa demande de suppression de ces articles : 2015 – Victoire ! L’avocat Pascal Koerfer perd sur l’essentiel son procès en diffamation ! Vous noterez que ce texte est invisible chez Google même en l’écrivant intégralement dans la recherche. Google ne s’en cache même pas (voyez le 2ème paragraphe) :

Google caviarde la recherche sur Koerfer

Grâce à cette entreprise, les escrocs qui en font la demande « légale » vont pouvoir disparaître sous l’horizon pour pouvoir continuer à dépouiller les vieilles dames et tromper leurs clients.

II – L’énorme responsabilité de Google dans la désinformation

Quand on pense aux saloperies qu’a commis cet avocat ! Il a tout de même hâté la mort de ma mère en plaidant contre elle alors qu’elle était sa cliente ! Il a laissé cette vieille dame de 89 ans séquestrée chez son tuteur mon frère à 472 km de chez elle alors qu’elle suppliait de revenir dans sa maison. Il l’a fait pour que ce tuteur puisse la vendre et se faire du fric facile ! Puis il l’a laissée, elle la vendéenne, se faire placer en secret dans un mouroir à Saint Clair sur Epte encore plus loin, à 496 km de chez elle pour que je ne le sache pas et qu’elle ne puisse me voir, moi son fils bien aimé !

Elle a été placée dans le 95 dans une résidence de vieux paumés errants dans les couloirs où elle ne voyait plus personne de sa famille ni de ses amis puisque personne n’était au courant. Koerfer a aidé son abominable tuteur, lui le défenseur des intérêts de ma mère, à la maintenir dans ce mouroir, luttant contre moi qui œuvrais à la ramener chez elle près de moi à sa demande ! Le lieu avait été choisi si loin à dessein pour que, même au courant, ses amis, trop vieux, ne puissent faire une telle route pour la voir, se scandaliser de ses conditions de détention et réclamer son retour chez elle. Il me fallait une journée entière pour faire les 900 km aller-retour et lui rendre visite venant de chez elle en Vendée (où j’habite) !

On comprendra que s’il est est morte là-bas en mars 2013, deux ans à peine après avoir été expulsée de chez elle par mon frère et ma sœur, ce ne pouvait être que de chagrin de se sentir abandonnée si loin de son foyer en Vendée…

Grâce à Google, cet horrible bonhomme parade dans le web avec ce sourire carnassier sans que personne ne puisse en découvrir les turpitudes. Alors, à quoi sert la justice ? A quoi sert Internet ? Et à quoi sert Google ?

Le sourire carnassier de Pascal Koerfer

 

 

 

 

 

 

Pascal Koerfer (on dirait qu’il va mordre…)

Je suis É-CŒUR-É !!!

III- Mes démarches (frustrantes) auprès de Google pour rétablir mes articles sur Koerfer

J’ai donc décidé de demander à Google de rétablir ces articles au non de la loi. J’ajoute ce chapitre spécial sur mes démarches car, connaissant Google qui répugne à faire ce qu’on lui demande en vertru de la loi, je vais devoir faire face à des objections à la tonne.

Il y a un an je leur ai demandé  de supprimer une référence négative à un ami critiquant (à tort !) sa vie professionnelle, puisée dans un de mes articles supprimé depuis longtemps mais comme par hasard toujours présente dans les résultats de recherche sur son nom. Ils ont discuté avec moi pendant des semaines, me réclamant les preuves de mon identité, du texte, des URL, etc. et, surtout, la preuve que cet ami était d’accord ! Comme s’il pouvait tenir à la présence sur le web d’un commentaire nuisant à sa vie professionnelle et personnelle. J’ai adressé copie d’un mail de cet ami confirmant sa demande mais ce n’était pas assez ! J’ai eu beau souligner à Google que de toute façon mon ami n’a pas à être d’accord, qu’il s’agit de MON article qu’en plus j’ai modifié pour supprimer cette médisance, que c’est à Google d’en tenir compte les jours qui suivent puisqu’il sait mettre à jour ses recherches au jour le jour. Peine perdue, Google ne cessait de me réclamer cette autorisation et j’ai fini par abandonner. Il se trouve qu’aujourd’hui cette référence a disparu. On ne sait pas pourquoi…

Concernant les articles sur Koerfer, il m’a fallu retrouver l’adresse de Google où écrire. Ce ne fut pas une mince affaire. Je ne sais même pas si c’est la bonne puisque là, je ne demande pas une suppression mais le rétablissement de plusieurs références. C’est un formulaire à remplir à cette adresse, plein de chausse-trappes. D’abord, il faut exprimer  ses doléances clairement et en moins de 1 000 caractères. Il faut donc compter des caractères ! D’où bien des tâtonnements avant de savoir si le nombre est accepté par Google. Tant que le formulaire est validé et le nombre de caractères requis dépassé, le formulaire est à modifier. Il réapparaît avec en rouge les endroits à rectifier. Bonne chose. Mais ! La pièce d’identité que vous aviez jointe, elle, a disparu sans que cette absence soit soulignée en rouge  !  Il faut donc penser à vérifier chaque fois que l’on valide le formulaire. Il est indiqué qu’il est possible de joindre plusieurs pièces à la fois (en appuyant sur CTRL) mais quand on le fait la pièce précédente disparaît ! Il n’y en donc toujours qu’une… Alors j’ai abandonné et n’ai joint que la copie de ma carte d’identité.

Mais le plus ubuesque, ce fut le rejet systématique du formulaire sous le prétexte que la date du jour n’était pas conforme ! Quoique datant de septembre 2017 elle était postérieure à 2017 ! On est là en pleine connerie informaticienne (à ce propos je vous invite à lire mes posts récents sur les preuves que l’informaticien est néfaste pour la société et les preuves que l’informaticien est inutile). En fait, j’ai fini par  comprendre qu’il fallait écrire la date à l’américaine : 09/16/2017 au lieu de 16/09/2017. Les informaticiens de Google ne se sont même pas donnés la peine de modifier leur programme, ou n’ont pas vu le bug, pour les pays écrivant une date commençant par le jour…

Requête auprès Google cf Koerfer

 

Et voilà le récépissé, non daté, reçu le 16/09/2017 :

Récépissé requête JPL à Google cf Koerfer

Voilà le texte adressé à Google (en moins de 1 000 caractères…) :

Mes articles sur Pascal Koerfer ont été supprimés de votre moteur. Sa demande n’est pas légale ! Cet article le dit clairement : « 2015 – Victoire! L’avocat Pascal Koerfer perd sur l’essentiel son procès en diffamation ! », je n’ai été condamné qu’à supprimer certains mots, c’est tout. Pas à supprimer les articles. Lisez le jugement : « il ne peut être fait droit à la demande de Pascal Koerfer tendant à faire interdiction à Jean-Philippe de Lespinay de tenir, à l’avenir, de manière directe ou indirecte, les accusations objets de la présente procédure. » Les juges ont donc décidé que ces articles resteraient tels quels, moins ces mots. Ce que j’ai fait.

En outrepassant la volonté des juges, sans même me consulter, Google est complice d’un avocat corrompu ce que j’explique ici :  » 2017 – Google corrompu à son tour ! Il cache mes articles sur Pascal Koerfer ! Cet avocat a pourtant été condamné par la justice à les laisser bien visibles sur le web ».

Veuillez rectifier et me tenir au courant.

Et voilà le mail de confirmation reçu une heure plus tard (si vous ne pouvez pas lire car c’est trop petit, zoomez en appuyant sur la touche Ctrl en même temps que vous faites rouler le bouton de votre souris) :

Mail récépissé requête JPL à Google cf Koerfer

Et maintenant, j’attends…

1ère réponse, le 18 septembre : à côté, comme par hasard ! Google affecte de voir en ma demande une demande de suppression et me dit qu’il n’y a rien à faire :

Bonjour,

Merci de votre réclamation ci-jointe.

Concernant les URL suivantes :

https://jpdelespinay.wordpress.com/2014/10/17/pascal-koerfer-avocat-corrompu/
https://jpdelespinay.wordpress.com/2014/11/25/2014-frederic-landon-batonnier-aveugle-a-la-corruption-de-pascal-koerfer
https://jpdelespinay.wordpress.com/2014/12/27/2014-enfin-lavocat-pascal-koerfer-porte-plainte-contre-moi-en-diffamation
https://jpdelespinay.wordpress.com/2015/07/30/2015-victoire-a-lissue-du-proces-en-diffamation-contre-pascal-koerfer-je-suis-condamne-a-retirer-les-mots-qui-fachent-cest-tout-le-reste-est-valide/
https://jpdelespinay.wordpress.com/2017/09/15/2017-google-complice-de-pascal-koerfer-lavocat-condamne-par-la-justice-a-laisser-sur-le-web-mes-articles-sur-lui-il-rend-mes-articles-invisibles/

Il semble que vous soyez l’auteur du contenu que vous nous avez demandé de supprimer. Nous avons constaté que le site concerné dispose de procédures pour bloquer ou limiter l’affichage de ce type de contenu dans les résultats de recherche. Nous vous recommandons d’utiliser en priorité les moyens de contrôle disponibles sur ce site afin de limiter la visibilité du contenu en question pour tous les moteurs de recherche, et pas uniquement pour Google.
Pour ce faire, veuillez consulter les pages suivantes :
WordPress : https://support.wordpress.com/settings/p/FAQ_Online/je-ne-veux-pas-etre-reference-sur-les-moteurs-de-recherche-comme-Google/?q=Google&l=fr&source=footer
Si les résultats Google ne correspondent pas au contenu de la page actuelle, vous pouvez demander la suppression de contenu en cache via l’outil accessible à la page suivante : https://www.google.com/webmasters/tools/removals. Pour en savoir plus sur la suppression de contenu obsolète figurant dans les résultats de recherche, consultez l’article disponible à l’adresse https://support.google.com/webmasters/answer/164734.
Cordialement,
L’équipe Google

Le même jour, je leur re-précise donc ma demande. Et maintenant, j’attends…

IV – Google affecte de ne pas comprendre ma demande !

Le 19 septembre 2017, je reçois une réponse à ma protestation d’hier. « Google a décidé de ne pas intervenir, conformément à ses règles en matière de suppression de contenu ». Je leur demande le rétablissement des liens, pour la deuxième fois, ils affectent de n’y voient que suppression de site !

Bonjour,
Merci de votre réclamation ci-jointe.
Concernant les URL suivantes :
https://jpdelespinay.wordpress.com/2014/10/17/pascal-koerfer-avocat-corrompu/
https://jpdelespinay.wordpress.com/2014/11/25/2014-frederic-landon-batonnier-aveugle-a-la-corruption-de-pascal-koerfer
https://jpdelespinay.wordpress.com/2014/12/27/2014-enfin-lavocat-pascal-koerfer-porte-plainte-contre-moi-en-diffamation
https://jpdelespinay.wordpress.com/2015/07/30/2015-victoire-a-lissue-du-proces-en-diffamation-contre-pascal-koerfer-je-suis-condamne-a-retirer-les-mots-qui-fachent-cest-tout-le-reste-est-valide/
https://jpdelespinay.wordpress.com/2017/09/15/2017-google-complice-de-pascal-koerfer-lavocat-condamne-par-la-justice-a-laisser-sur-le-web-mes-articles-sur-lui-il-rend-mes-articles-invisibles/
Nous avons bien reçu et examiné votre réclamation. Pour le moment, Google a décidé de ne pas intervenir, conformément à ses règles en matière de suppression de contenu. Comme toujours, nous vous encourageons vivement à résoudre vos litiges directement avec le propriétaire du site Web mis en cause.
Si vous engagez des poursuites à l’encontre de ce site et si celles-ci entraînent la suppression du contenu incriminé, nos résultats de recherche refléteront ce changement après la prochaine exploration du site. Si le webmaster apporte les modifications et si vous souhaitez que nous accélérions la suppression de la copie en cache, nous vous invitons à utiliser l’outil de demande de suppression de page Web disponible à l’adresse http://www.google.com/webmasters/tools/removals.

Je réponds une fois encore à Google pour lui rappeler que je demande le rétablissement de liens et non pas leur suppression.

13 octobre 2017 : toujours pas de réponse. Koerfer est bien protégé…

I – En fait, que raconte mon blog ? L’histoire d’une puissante  franc-maçonnerie qui s’emploie à étouffer quelque chose que j’ai découvert en 1986. Ça doit être énorme… 

1 – Suis-je un mythomane ?

Regardez mon blog : 130 agressions en tous genres pendant 30 ans, souvent anonymes, émanant presque toutes de l’administration, dirigées contre un pauvre créateur d’entreprise qui n’a pour seul défaut que d’avoir fait des découvertes en intelligence artificielle (IA). Est-ce bien raisonnable ? Une telle constance dans la tyrannie doit avoir une raison. Je vais vous la donner, mais pour qu’elle ne vous paraisse pas invraisemblable, il faut d’abord que vous ne doutiez pas de ma santé mentale et que vous ne voyez dans ce blog ni cris de roquet ni élucubrations de mythomane. Si vous ne doutez pas, passez au chapitre suivant.

Pour lever les doutes du lecteur, bien naturels vu son contenu, sachez que j’ai tout fait pour rendre ce blog irréprochable. J’ai multiplié dans mes articles l’insertion de pièces attestant mes dires et, surtout, j’ai publié les noms de mes agresseurs, magistrats et politiciens inclus. Ainsi, si j’affabulais, je serais poursuivi en diffamation. Mais si je n’étais pas poursuivi, je n’affabulais pas et mon blog était crédible. Or, je n’ai été poursuivi qu’une fois en dépit de mes articles au vitriol. Par un « grand » avocat parisien (Pascal Koerfer) dont je démontrais la corruption… Il a perdu ! Et sa corruption s’affiche toujours dans mon blog (voyez cet article). Preuve que mon blog n’affabule pas.

2 – L’anonymat bizarre de mes adversaires…

Cette absence de poursuites officielles alors que je suis dans le collimateur d’une puissante franc-maçonnerie de magistrats et de hauts-fonctionnaires est étonnante. Visiblement, ils tiennent à leur anonymat. Sur le web, vous pouvez le constater par vous-même, on ne trouve contre ma personne pas une seule critique, pas une rumeur. Pour quelqu’un d’aussi connu, « bruyant » et haut en couleur, là aussi c’est étonnant. Dans mon blog, aucune réaction émanant de mes « victimes » d’Etat. Elles se taisent… Leurs noms sont pourtant cités dans un site vu 100 000 fois depuis 2012 démontrant « les ravages de la corruption quotidienne en France » ! La capture d’écran WordPress ci-dessous atteste que ces 100 000 vues ne sont pas une galéjade.

Stats visites blog WordPress sept 2017

Nombre de vues : 100 259 – Nombre de visiteurs : 57 509  (12/09/2017)

Mes adversaires se doutent bien pourtant que cette accumulation de témoignages qui fait de moi un « lanceur d’alertes », ne s’effacera jamais du « cloud » et les conduira un jour à leur perte. Le plus curieux c’est que ces personnages, qui sont souvent des juristes hors pair, n’exploitent pas les armes légales à leur disposition qui leur permettraient de me museler : en droit faire ce que je fais, par exemple publier le contenu de mes procès pour démontrer la corruption des juges, c’est diffamer. Je dévoile ainsi des informations dites privées, « inter partes » : entre les parties. Seules les conclusions de la justice sont publiques : « erga omnes« . Or, je ne me prive pas de citer le contenu inter partes de mes jugements.

Donc, nous tenons là une horde de fonctionnaires accrochée à mes basques, très puissante, qui m’agresse gravement de façon continue pendant 30 ans (interdiction de gérer 10 ans confirmée en référé, en appel et en cassation, expulsion, hypothèque secrète sur ma maison, mise de ma mère sous tutelle d’un ennemi en secret, condamnations au maximum, refus de juger un dossier en cassation, etc.), mais le plus anonymement possible… Elle y tient tellement à son anonymat qu’elle ne fait aucune vague autour de mon blog ou de ma réputation. Je ne sais pas ce que vous en pensez mais, pour moi en tout cas, c’est la preuve que je suis blanc comme neige. Ou plus fort que je ne le pense. Ou les deux…

En fait, vous allez le voir, on veut me faire taire mais la raison en est si immorale qu’il vaut mieux faire profil bas.

II – Qu’ai-je découvert ? Que les ordinateurs savent beaucoup mieux programmer que les informaticiens. Ça ne plaît pas à tout le monde… 

1 – Mon invention gêne les informaticiens, on peut comprendre

Qui parle d’informatique dans les médias ? Des informaticiens. Donc vous n’en entendrez jamais dire du du mal. Et qui lit des articles d’informaticiens ? Des informaticiens…. Quand des utilisateurs parlent d’informatique, là le ton est différent, c’est de façon très critique (voyez dans mon blog l’article qui suit celui-là) mais il faut tomber dessus ! Il est très difficile pour le vulgum pecus de se tenir au courant sur l’état de l’art réel en informatique. C’est là que j’interviens en tant que non informaticien expert en informatique et intelligence artificielle, par culture au service des utilisateurs et de la vérité.

En 1986, imprégné de ces deux généreux principes, je démontre chez un client, la Banque de Bretagne, qu’en dotant d’une vraie intelligence artificielle les ordinateurs de leur personnel non informaticien ils programment infiniment plus vite et de façon bien plus fiable que des informaticiens, en français qui plus est. La démonstration est si éclatante que les médias s’en emparent : 40 articles dans la presse ! Aussitôt, une mafia de fonctionnaires s’agite dans l’ombre pour me faire taire. C’est ce que relate mon blog année après année.

2 – Le « one shot »…

Que mon invention gêne les informaticiens, on peut comprendre. Ceux-ci ont d’ailleurs été très efficaces dans leur résistance à mon invention. De façon subtile pour ne pas s’opposer frontalement à leurs patrons, unanimement favorables à une informatique sans informaticien. Profitant du fait que toute commande de logiciel ou de nouvelle technologie informatique dans l’entreprise doit avoir l’agrément des services informatiques, ils les repoussent sans cesse par une multitude de prétextes dont le plus fréquent est « il y a plus urgent »… Voyez cet article.

Les informaticiens m’ont ainsi obligé à faire du « one shot » : je rentre dans une entreprise par surprise car le service informatique ne voit pas venir cette technologie qui va le remplacer. Mais ensuite, impossible au client de me commander à nouveau. Le budget des technologies informatique est toujours géré par le service informatique… En ce qui concerne mes produits, il n’est jamais débloqué. Le pauvre client ne comprend pas ce qu’il se passe, me promet qu’il va arranger ça et s’escrime à débloquer la situation. Il s’était engagé à me passer de belles commandes et j’en rêvais autant que lui. La survie de mon entreprise et l’emploi de mes collaborateurs en dépendent. De mois en mois, nous ne pouvons que constater l’impossibilité de débloquer les commandes, sans comprendre. Nous finissons par abandonner. J’en ai énormément souffert ! Voir autant de clients séduits incapables de passer commande année après année, c’était vraiment de la « malchance » !

J’ai compris beaucoup plus tard qu’il s’agissait d’une stratégie éprouvée des services informatiques : leur dogme intangible, connu des initiés, est qu’il faut interdire aux services utilisateurs de développer des applications par eux-mêmes pour leur propre usage « car cela ficherait la pagaille dans l’entreprise »… C’est au service informatique, « des professionnels », de programmer.

L’exemple le plus emblématique de cette stratégie sournoise fut le refus du service informatique de la Banque de Bretagne de financer les adaptations de Joséphine aux nouvelles réglementations financières, sans que je sois tenu au courant. Sinon, j’aurais fait le travail gratuitement ne serait-ce pour soigner cette belle vitrine de mon invention. Ce système expert avait pourtant beaucoup rapporté à cette banque en chiffre d’affaires et notoriété. Faute de mises à jour, le système expert s’est retrouvé obsolète et n’a plus été utilisé au grand dam du service qui me l’avait commandé (voyez cet article).

On comprendra pourquoi les patrons souhaitent la disparition de cet « état dans l’état » : le service informatique.

Cette manière anonyme et malhonnête de faire de la résistance me rappelle l’obstruction secrète des universitaires composant le jury du concours nantais Atlanticiels à la fin des années 1980. Ce concours avait pour objet de récompenser les créateurs nantais de logiciels innovants. J’étais le type-même de créateur nantais à récompenser et je soumissionnais chaque année. Et chaque année, pas un mot sur ma candidature de la part d’Atlanticiels ! Pas un accusé de réception, pas un remerciement. Je ne découvrais qu’elles étaient rejetées qu’en apprenant les récompenses attribuées à des réalisations pitoyables.

Quelques temps plus tard et par hasard, j’ai découvert le pot aux roses : quand ma candidature arrivait sur le bureau d’Atlanticiels, les universitaires membres du jury la mettaient immédiatement à la poubelle ! Personne ne pouvait donc ni l’étudier ni en parler. Pendant ce temps-là la presse nationale, elle, parlait abondamment de cette invention nantaise… Nantes s’autodétruisait allègrement. Car, tout de même, il devait y avoir beaucoup de complices dans cette affaire. La chambre de commerce de Nantes elle-même, dont le rôle est de soutenir les petites entreprises, était au courant. Plus révélateur encore de la mentalité des caciques nantais, JAMAIS un organisme officiel de Nantes n’est venu me voir suite au tapage médiatique autour de mon intelligence artificielle ! Quant aux subventions à la recherche conçues pour aider la recherche privée, elles m’étaient toutes refusées alors qu’on les accordait généreusement à mes concurrents bidons il est vrai plein de personnels universitaires (Cognitech ! Framentec !). Je travaillais à la gloire de ma ville… seul. Vous imaginez la douleur de ne même pas se sentir soutenu dans sa propre ville…

3 – Mon invention gêne aussi les fonctionnaires, on se demande bien pourquoi…

Que mon invention gêne aussi les fonctionnaires, c’est par contre difficile à comprendre…

Mon blog démontre amplement que je me heurte à une armée de ces gens-là mais au départ, de 1986 à 1990, ce ne sont pas n’importe lesquels : ce sont uniquement les chercheurs universitaires en informatique. Ils ont apparemment vu le danger pour eux de mon invention que, moi, je n’ai pas vu… Ensuite, ils ont su rassembler les bonnes volontés corporatistes administratives. Le fisc, d’abord, de 1991 à 2007, les organismes finançant la recherche privée ensuite, puis les magistrats, les avocats véreux, de grandes administrations (Anvar, Conseil Régional des pays de la Loire), des banques (Société Générale, Caisse d’Epargne), des politiciens (Madelin, Fillon, Xavier Bertrand, Annick du Roscoat, Françoise de Panafieu), Wikipédia, etc. Une bonne partie de ce que la France compte de pourriture s’est associée pour bâillonner et détruire un homme honnête.

Alors ? En quoi un ordinateur qui se programme tout seul peut-il gêner le fonctionnaire ? C’est là que ça devient intéressant tellement c’est la France… On est face à un gigantesque problème d’ego.

D’abord, mes ennemis secrets des premiers temps chez les fonctionnaires sont des universitaires informaticiens

Donc, par principe, ils détestent mon invention. En soi ce n’est pas grave sauf que… quand un groupe de fonctionnaires vous a dans le collimateur, ses copains des autres administrations prennent fait et cause pour lui. C’est ce qu’on appelle le corporatisme. Si en plus vous avez le profil d’un ennemi de classe, cela peut prendre des propositions dantesques, du style raz de marée !

Ensuite, ils sont chatouilleux. Vous avez sûrement entendu parler des ridicules querelles scientifiques…

Les chercheurs universitaires représentent une élite à l’ego surdimensionné. Ils ne supportent pas que quelqu’un trouve ce qu’ils n’ont pas trouvé. Dans ce cas, ils deviennent extrêmement agressifs et contestent comme des gamins. Et plus encore si le trouveur n’appartient pas à leur fratrie, ce qui arrive souvent. Dans mon cas, j’ai eu l’agression mais, très bizarrement, jamais la contestation (car elle aurait eu le tort d’officialiser le débat).

Les chercheurs universitaires en intelligence artificielle, qui ne sont donc pas des trouveurs, sont issus d’une longue formation informatique d’Etat conclue par une thèse. Ils sont très souvent fils ou filles de fonctionnaires. Éloignés par culture du monde réel, ils se considèrent comme des ingénieurs même si le gros problème de l’informatique traditionnelle qui la rend si mal-aimée, c’est justement que ce n’est pas une science mais un art (voir dans mon blog l’article qui suit) ! Si deux informaticiens écrivent le même programme chacun de leur côté, il faut savoir que cela donnera deux programmes radicalement différents. Il est impossible que cela donne le même programme. « Nous sommes toujours à la recherche d’une théorie générale de construction des logiciels comme peut l’être celle permettant la construction des ponts. L’informatique n’a pas, pour l’heure, ce caractère constructible et prédictible des objets physiques » avoue Joseph Sifakis, lauréat du prix Turing (l’équivalent d’un prix Nobel en informatique qui n’existe pas).

Pour en revenir à mon cas, c’est un non informaticien, un privé, même pas ingénieur, pire, un vulgaire commercial – un petit, quoi ! – qui a trouvé ce qu’ils étaient incapables de trouver depuis 20 ans : comment créer une IA qui marche en abandonnant tous les principes traditionnels de l’informatique. Et pire, il l’a découvert en 3 mois ! Et plus que pire, il a fait la preuve que ça marche chez un client dans les mois qui ont suivi, renouvelant la démonstration sans arrêt par la suite dans nombre d’entreprises ! Et plus que plus que pire, cela lui a valu une centaine d’articles de presse dans les médias nationaux ! L’injure suprême pour des universitaires dont la promotion dépend des articles qu’ils publient dans les organes d’Etat et qui ne sont jamais publiés dans les médias privés tellement ils sont ennuyeux (ou creux).

La science universitaire venait d’être ridiculisée par un amateur ! Là, ça ne suffisait plus d’attaquer le Lespinay et de jeter son invention aux oubliettes, on allait passer à l’arme suprême au service du fonctionnaire corrompu : recruter du magistrat pour couler son entreprise et le ruiner. C’est fait…

Ces universitaires sont des « chercheurs« 

Mon invention a fait naître une nouvelle informatique basée sur l’ordinateur qui raisonne comme vous et moi et non plus sur l’ordinateur idiot qu’il faut piloter pas à pas. Elle les ferait disparaître comme chercheurs puisqu’ils sont spécialistes d’une technique dépassée et qu’ils sont incapables de se remettre en question face à des concepts radicalement nouveaux. Ils ne sont même pas intéressés du tout de les étudier ! Ces « scientifiques » se contentent de réciter ce qu’il y a dans les livres, eux-mêmes écrits par d’autres universitaires, de génération en génération… Ce sont eux qui, appartenant à l’Éducation Nationale, forment nos têtes blondes à l’informatique « avancée », soit entre autres à l’intelligence artificielle. Ils ne savent absolument rien faire d’autre. « Quand on le sait, on le fait. Quand on ne le sait pas, on l’enseigne… »

Si l’on apprenait que leur informatique est dépassée, ils disparaîtraient. Alors, ils passent à l’attaque… avec tous les moyens de l’administration française.

Enfin, il y a le fric ! L’université blanchit l’argent de nos impôts…

Outre l’enseignement, l’activité des chercheurs universitaires en intelligence artificielle consiste à rédiger des articles scientifiques dans les organes d’Etat et à placer leurs étudiants soigneusement décérébrés dans les grandes entreprises (et même parfois dans les petites) à travers des contrats juteux de « recherche » subventionnés dont les universitaires profitent par des biais divers et variés. Ces étudiants sont des gamins Bac + 5 ou 6 sans expérience, et surtout sans expérience de l’intelligence artificielle même s’ils en ont appris la théorie. Ils sont lâchés dans la nature sous la supervision d’un maître de stage universitaire qui n’a lui-même jamais écrit le moindre logiciel d’intelligence artificielle ! Pour cette raison, incroyable mais vrai, ces projets n’aboutissent jamais. D’où la faillite officielle, bien connue, de l’IA. Pour les universitaires l’excuse est toute trouvée : « nous offrons du boulot de chercheur, pas de trouveur ».

Pour parvenir à appâter le chaland, les chercheurs s’auto-auréolent de leur expertise supérieure en IA et séduisent les naïves entreprises en leur faisant miroiter des subventions d’Etat à la recherche. Mais attention ! Ces subventions sont uniquement attribuées dans la mesure où elles financent des projets de recherche contrôlés par l’université. Jamais s’ils sont contrôlés par la recherche privée. Surtout si celle-ci ne compte pas prendre d’étudiants formés par les chercheurs universitaires… Cet argent prélevé de force sur nos impôts retombe dans les poches des universitaires de multiples façons bien éprouvées : voyages fréquents « de travail » gratos autour de la planète, maîtres de conférence nourris-logés-blanchis dans les congrès en France et ailleurs, créations de start-up dont ils sont les patrons ou associés grassement rémunérés (voyez les cas de Cognitech et Framentec, ou cet article, celui-ci ou celui-là), cadeaux divers des entreprises-clientes, intégration dans les conseils d’administration avec jetons de présence payés, etc. ! Rappelons tout de même que l’Education Nationale est déjà très chèrement financée par nos impôts !

C’est ainsi que nos impôts volés officiellement pour aider la recherche privée sont blanchis dans des opérations « vertueuses » qui enrichit en fait les fonctionnaires universitaires… Alors, vous imaginez, si l’on apprenait que cette intelligence artificielle universitaire est bidon et que la vraie est une science exacte assez intelligente pour se passer d’informaticiens, les chercheurs universitaires perdraient à la fois leur auréole et leur bizness juteux !

Conclusion : attaquer Lespinay ne suffit plus. Il faut mettre son invention aux oubliettes (voyez les JIIA d’Avignon en 1987, cet article et celui-là) et le faire passer pour un charlot (« Jean-Philippe, tu es bidon !« ).

 

V – Résultat : une industrie de pointe franco-française en sommeil depuis 30 ans…

Le résultat de cette fantastique obstruction de l’Etat c’est que l’invention que le public attend  depuis des décennies, l’ordinateur intelligent et bon marché au service de tous que ses utilisateurs peuvent améliorer sans cesse rien qu’en parlant avec lui, une machine toute simple sans clavier, sans souris et même sans  écran, ne se vend pas. L’invention franco-française qui permettrait la création d’une industrie hexagonale unique au monde se répercutant dans l’ensemble des technologies sur la planète avec des embauches par milliers, demeure toujours bien cachée…

 

I – Mon blog, une arme à double tranchant face aux magistrats et auxiliaires de justice corrompus…

Certains trouvent que mon blog est trop fourni en injustices éclatantes pour que toutes soient vraies. Autrement dit, peut-être serais-je un tantinet parano… Qu’ils se rappellent alors que dans un procès en diffamation récent (Koerfer) – le seul qu’on n’ait jamais osé m’intenter – la justice m’a accordé le droit de dénoncer la malhonnêteté d’un avocat qui avait contribué sciemment aux souffrances de ma mère, sa cliente, ce qui a mené à sa dépression suivie de sa mort prématurée.

Ensuite, il semble que les récits contenus dans mon blog soient tellement inattaquables qu’il ne reste aux juges ripoux que la forfaiture pour m’en punir. Ils me condamnent en faisant triompher mes escrocs d’adversaires. Cela alimente mon blog… Lequel me fait condamner… Ça fait cher d’être lanceur d’alertes en France ! Dans nombre de mes procès mes adversaires sont tellement convaincus de la corruption des juges et de la faiblesse de leurs arguments qu’ils présentent des extraits de mon blog pour leur défense. Ces extraits sont bien entendu sans rapport avec l’objet du procès. Il s’agit seulement de les monter contre moi et d’aboutir à une condamnation impossible autrement. Voici un exemple tiré de l’affaire Tocquer objet de ce présent article, pris dans les conclusions de adversaire :

Citation de mon blog par Tocquer

Si le juge est médiocre, ce qui est une généralité (je sais, j’aggrave mon cas…) il profite du procès qu’il instruit pour se venger de mes attaques contre ses collègues en me condamnant. C’est ce qu’on appelle de la forfaiture, l’abus de pouvoir d’un magistrat qui, dans son propre intérêt, détourne sa fonction pour condamner l’innocent au profit du coupable. Un crime grave mais fréquent car impuni en France : le juge est haut fonctionnaire, comme tous nos politiciens et autres acteurs du système…

Le cas Tocquer que je vais vous décrire en est un parfait exemple. A ajouter au cas Oesinger où le juge, après avoir pris connaissance de mon blog, accorde à mon frère en secret la tutelle de ma mère avec qui je vis puisque c’est mon ennemi. Cette forfaiture la tuera. A ajouter au cas Koerfer où mon adversaire cite abondamment mes attaques contre certains juges, mais qui n’a pas donné le résultat escompté puisqu’il a été débouté sur l’essentiel. Plus mon procès actuel en liquidation-partage contre mon frère et ma sœur dans lequel ils citent mon blog pour se défendre. Plus le procès que j’intente contre eux en dissolution de notre SCI dans lequel leurs références à mon blog – sans aucun rapport avec notre conflit concernant la gestion de la SCI – représentent 80 % du volume des pièces ! Ils auraient tort de s’en priver, cela a bien marché avec le juge des tutelles Oesinger…

L’autre corruption qui me frappe, c’est l’alliance entre mon avocat, mon adversaire et le juge. C’est un cas beaucoup plus fréquent qu’on ne le croit. Ces gens-là se connaissement souvent depuis longtemps ou ont des amis communs. L’avocat est beaucoup plus proche du juge de son territoire qui va le faire gagner ou perdre que de son client. Un client de perdu, dix de retrouvés… Dans ce genre de cas,  le justiciable est tenu dans l’ignorance de la date d’audience pour qu’il ne puisse s’y présenter, exposer sa défense et surtout constater la complicité à ses dépends entre les trois parties. C’est le cas Gizard, le cas Tocquer présent mais aussi le cas de mon ex-avocate Muriel Bonnot qui, dans le cadre de ma procédure d’appel contre mon divorce, oublie de plaider les deux tiers de mon dossier mais pas de me demander 100 % de « provision » quand elle s’en aperçoit, ne me communique pas la date d’audience et ne s’y rend même pas ! Cette incurie aboutit à ma condamnation pour 50 000 € plus la perte d’une bague de famille de valeur avec un beau diamant. Cette bague reste en possession de mon ex-épouse alors que loi et jurisprudence spécifient clairement qu’une bague de fiançailles de famille doit être restituée à l’ex-mari en cas de divorce comme tous les biens de famille !

II – Une location de vacances sans problèmes…

Passons maintenant  au cas Tocquer qui nous occupe ici. En juillet 2010 je réserve un appartement à Biarritz pour une semaine de vacances à Biarritz. Habitant à 500 km de là, je le fais sur la foi des photos affichées dans le site web « Tyanne Location » d’Anne-Sophie Tocquer, de mes conversations avec elles et du contrat qu’elle me propose par mail. Selon ce contrat, il s’agit d’un « appartement situé 8 avenue Jaulerry, résidence Trianon, 64200 Biarritz. Cet appartement est situé au premier étage de l’immeuble d’une surface totale de 3a40ca. Sa surface est de 42 m2, plus une mezzanine, et comprend : un couloir d’entrée, un wc qui donne dans ce couloir, une petite salle de bain avec baignoire sabot, une grande pièce avec un coin repas, avec une table et 4 chaises, un coin salon avec un canapé clic-clac avec un couchage 1,40m, une meuble télévision avec une petite télé et une petite mezzanine accessible par un escalier vu sur photos, avec un lit de 1,40m, une kitchenette avec gazinière électrique, frigo et nécessaire de cuisine. »

Voilà la copie du contrat, en deux parties tellement il a fallu le retoucher par Internet, Mme Tocquer faisant semblant d’être ignare dans ce domaine alors que c’est sa profession (« Tyanne Location ») :Contrat de location Tocquer Biarritz 1ère page

Notez la surface en « ares et centiares » !!!

Contrat de location Tocquer Biarritz

 

III – Des photos accablantes !

Quand j’arrive avec mes enfants, dont une femme enceinte, je découvre :

  1. un couloir d’entrée de 10 m de long qui prend le tiers de la surface totale de l’appartement !
  2. La moitié des éclairages en panne
  3. Pas d’état des lieux et la loueuse Anne-Sophie Tocquer qui refuse d’en faire !
  4. Couverts dépareillés et prévus pour une seule personne.
  5. Lieux dégoûtants et malodorants
  6. …et le pompon : le seul lit double, destiné à la femme enceinte et à son mari, installé dans une mezzanine dangereuse et quasiment inaccessible !

Accès mezzanine réel

A elle seule, cette photo – présente dans le dossier transmis au procès et jamais contestée par la logeuse Anne-Sophie Tocquer – aurait du suffire à la faire condamner. Imaginez une femme enceinte essayant de descendre cette échelle tous les jours en marche arrière et à plat-ventre pour quitter son lit et franchir ce goulet sans se casser la figure ! C’est ce qu’elle a du faire. Mais c’est moi qui vais être condamné ! Pour « préjudice moral » envers ma logeuse contre qui j’ai porté plainte car elle refusait de réduire le loyer ! Selon le juge J-M Castagnet, mes enfants et moi, la femme enceinte, n’avons subi aucun préjudice… C’est de la corruption !

Pour démontrer au juge l’intention ferme de Mme Tocquer de tromper le client, voilà sa photo de cette mezzanine dans son site web :

La mezzanine selon Tocquer

La vue est soigneusement cadrée pour qu’on ne puisse deviner l’étroitesse de l’accès à la mezzanine et sa très faible hauteur sous plafond…

Et maintenant la photo du « couloir d’entrée » :

Couloir

Il est clair que ce n’est pas un « couloir d’entrée » mais un vestibule, une pièce à part entière qui fait le tiers de la surface totale (où traînent d’ailleurs des morceaux d’aspirateur abandonnés là par la logeuse, ce qui en dit long sur son sens de la propreté !)

Voici quelques photos prises dans le dossier transmis au juge pour montrer la malpropreté des lieux :

Etat général dégoûtant

Planche à découper dégueulasse Cuvette WC tâches douteuses

 Ballon

Des taches un peu partout… et une fuite d’eau qui dérange les voisins du dessous !

Pas de hotte, un trou

Pas de hotte au-dessus de la gazinière : un trou ! Et juste au-dessus… la mezzanine et le lit du couple qui, jour après jour, s’imprègne davantage des odeurs écœurantes de cuisine. Le pire pour une femme enceinte !

Voilà l’état des lieux fait en vitesse par moi-même pour contraindre Mme Tocquer à remettre certaines choses en état :

Etat des lieux JP

Face à ma détermination Mme Tocquer, folle de rage, fait intervenir son mari pour remplacer les ampoules, ajouter quelques couverts et fixer une marche mal fixée de l’échelle de la mezzanine qui glisse dangereusement hors de son alvéole (en plus de la difficulté d’accès !). Il effectue ces travaux en bougonnant : « cet appartement est en trop mauvais état, jamais il n’aurait dû être loué… »

IV – L’attitude haineuse de Anne-Sophie Tocquer, l’inefficacité de l’association de consommateurs Que Choisir, l’inaction des administrations chargées de la protection des consommateurs, etc…

Quand nous lui reprochons de nous avoir trompés sur la qualité de l’appartement, Anne-Sophie Tocquer se permet de nous prendre de haut ! Haineuse, elle nous invite à repartir illico et à prendre une autre location à Biarritz. Elle sait mieux que personne que la chose est impossible. Nous sommes mi-août, tout est complet à Biarritz depuis longtemps même les locations les plus chères. Et comme mes enfants viennent de Paris, à 8h de là, il n’est pas question de refaire un tel voyage. Nous voilà contraints de rester dans ce clapier et de faire semblant de passer de bonnes vacances.

Quand nous repartons deux semaines plus tard, cette fripouille nous fait payer nos reproches sur son appartement en nous forçant à le nettoyer de fond en comble ! Faute de quoi nous ne récupérons pas la caution. Nous le lui rendons donc plus propre qu’à l’entrée… Je lui demande de nouveau une réduction du prix du loyer. Refus absolu ! Elle hésite même à rendre la caution. On voit bien à son attitude haineuse qu’elle a trop envie de se venger de nos reproches par tous les moyens. Une ordure, vous dis-je. Il faut que je la menace de poursuites judiciaires en lui rappelant toutes les photos des lieux que nous avons prises en arrivant pour qu’enfin elle me restitue la caution. C’est ce refus de reconnaître ses torts et cette attitude agressive totalement dépourvue de regrets envers des clients gentils qu’elle a trompés qui va me pousser à la poursuivre par tous les moyens possibles.

Le 26 août 2010 soit seulement 5 jours après la location, je la signale à la DDPP (Direction Départementale de la Protection des Populations, ex-DGCCRF), qui me répond (Tocquer DGCCRF- JLB-2010- 775 Meublé Biarritz) : « depuis le 1er juillet 2010, toute personne qui offre, en location permanente ou saisonnière, une ou plusieurs chambres meublées situées chez l’habitant ou un meublé classé tourisme (villa, appartement ou studio meublé) pour accueillir des touristes doit en faire la déclaration préalable, avec accusé de réception, auprès de la mairie du lieu de l’habitation (art. 24 de la loi du 22 juillet 2009 du développement et de modernisation des services touristiques ) [ce qui n’a pas été fait, bien entendu].  Je transmets en conséquence pour information votre plainte, ainsi que la présente lettre, à Monsieur le Maire de Biarritz. »

Le signataire ajoute : « Pour obtenir un dédommagement éventuel, la solution appropriée est, comme vous l’envisagez, de saisir le juge de proximité. Cette procédure est gratuite et ne nécessite pas d’avocat ; l’appui d’une association de consommateurs vous sera cependant sans aucun doute très utile. » Je sollicite donc l’association Que Choisir de mon département, qui me contraint à adhérer. Elle adresse à Mme Tocquer une lettre accablante accompagné de mes photos prises dans son appartement. Pas du tout gênée, celle-ci leur répond vertement que tout est faux (voyez sa lettre Tocquer réponse à UFC) que c’est moi le malpropre, qu’elle a recueilli des photos et des témoignages et que l’association Que Choisir n’a qu’à venir voir ! On se doute que si elle acceptait de faire 10 heures de route aller-retour pour venir voir tout serait nickel à l’arrivée, sauf l’accès à la mezzanine. Et c’est là que cette prétentieuse association « de défense du consommateur » se dégonfle… Elle me dit que face à tant de détermination elle ne peut m’être d’aucun secours ! Je demande alors : « mais quand défendez-vous le consommateur face à la détermination  constante des escrocs ? » Pas de réponse…

Très déçu par Que Choisir,  je suis contraint de porter plainte contre Tocquer (Tocquer plainte gendarmerie). La plainte va être déclarée sans suite… Je demande alors à AVIVA, mon assurance habitation, de poursuivre Tocquer en justice.  Elle m’attribue alors une avocate de Biarritz, Françoise Lucchesi. Celle-ci va se révéler – au cours des années ! – si peu active et disponible que je me mets en quête d’un autre avocat pour me défendre. Hélas, AVIVA refuse de prendre en charge ses honoraires ! Seuls ceux de Lucchesi sont acceptés. Ou alors je dois payer de ma poche. C’est ainsi que, selon la loi paraît-il, une avocate dont je ne veux pas et que je ne connais pas, dont AVIVA est censée contrôler le travail et servir d’intermédiaire entre elle et moi, devient officiellement celle que j’ai choisie, sous ma responsabilité !

V – Françoise Lucchesi, avocate absente, tire-au-flanc ou ripou, au choix…

Vous raconter 3 ans de relation avec cette avocate aux abonnés absents serait trop long. Je vais donc résumer :

  1. Lucchesi ne signe pas la convention  d’honoraires que lui transmet Aviva, qui ne s’en émeut pas
  2. En 2011, elle commence par clore « malencontreusement » mon dossier et l’oublie
  3. Quand ma plainte contre Tocquer est classée sans suite, elle ne s’en occupe pas. Il faut que je la relance sans cesse jusqu’à ce qu’elle interroge enfin le procureur
  4. Ce n’est qu’en décembre 2013, soit deux ans après le début de la procédure et en dépit de mes nombreuses relances, qu’elle me demande quel montant de dommages et intérêts réclamer à mon adversaire !
  5. Le 31 octobre, elle m’écrit un torchon incompréhensible : « Selon cette analyse, il pourrait être reproché à Madame TOCQUER « un manquement à l’information pré contractuelle il pourrait être reproché à Madame TOCQUER « un manquement à l’information pré contractuelle » visé par les articles L 111.2 et L 111.3 du Code de la Consommation. Une procédure sur ce fondement devant la Juridiction civile présente toutefois un aléa.que la procédure » ! Elle refuse d’éclaircir ses propos par la suite.
  6. Enfin éclate la preuve de son hostilité envers moi : elle refuse catégoriquement de m’aider à fixer le montant des dommages et intérêts (le service juridique d’Aviva auprès duquel je m’en plains, également !). Elle veut que ce soit moi qui le fasse. J’en suis étonné et demande à Aviva de m’appuyer. Sans succès. Je découvrirai trop tard que si je fixe un montant inférieur à 4 000 € je ne pourrai faire appel. Et cela, Me Lucchesi ne veut pas que je le sache ! Je propose donc un montant trop bas que Lucchesi accepte aussitôt. Je me retrouve coupé sans le savoir de toute possibilité de faire appel quand je verrai arriver le jugement inique qui me condamne au maximum pour avoir osé poursuivre Tocquer.
  7. Le 16 octobre 2014, je propose à Mme Lucchesi de  doubler les dommages et intérêts à réclamer, soit de les porter à 3 000 €. Je frôle le montant minimum requis pour pouvoir faire appel. Elle ne répond pas ! Là encore, refus d’information auprès du client.
  8. Le 2 décembre 2013, lassé de n’avoir aucune nouvelle de Lucchesi en dépit de mes relances de plus en plus exaspérées, je secoue mon assurance Aviva qui finit par me confier par écrit que l’avocate est réticente à travailler sur mon affaire car elle la juge « incertaine » ! Pas d’autre explication…
  9. De juillet 2013 au 12 mai 2014 aucune nouvelle de Lucchesi ! Aviva m’écrit : « Nous n’avons pas pu joindre l’avocat par téléphone. Nous l’avons relancé ce jour par mail. Nous demandons en parallèle à notre responsable réseaux d’intervenir auprès de lui. »  Plus de nouvelle jusqu’à fin juin 2014 !
  10. Le 27 juin 2014 Mme Lucchesi me transmet enfin son projet d’assignation (Conclusions Lucchesi juin 2014), pas si mal rédigé, mais dans lequel elle n’insiste pas sur l’essentiel : la volonté évidente de Tocquer de tromper ses clients sur la qualité de son offre. Elle ne met pas en exergue la photo biaisée de l’accès à la mezzanine et le danger réel présenté par cet accès, surtout pour une femme enceinte (attestation à l’appui). Tout ce qu’on trouve sur le sujet est en annexe : « Inventaire manuscrit et photographies ». Sans aucun développement… Comme il y a des dizaines de photos, le juge peut prétendre n’avoir pas vu les plus importantes.
  11. Me Lucchesi développe une apparente bonne argumentation et pourtant, selon Aviva, elle pense que « l’issue est incertaine » : comment est-ce possible ? A-t-elle décidé de perdre ? Tout procès est incertain par principe, inutile d’en parler. Surtout en France ou la justice est entre les mains d’une mafia, mon blog le démontre amplement. L’avocate a-t-elle des informations que j’ignore et pourquoi ne m’en parle-t-elle pas ?
  12. Le 16 octobre 2014 elle me transmet les conclusions de l’adversaire en réponse à son assignation, me demandant mes commentaires. Je les lui fournis en 18 points (18 commentaires JP aux conclusions Tocquer). Elle n’accuse pas réception, ne m’en parlera pas et ne m’adressera jamais les conclusions qu’elle entend développer devant le juge !
  13. Dans les conclusions de l’adversaire je découvre, comme par hasard, la référence à mon blog : « En réalité, il apparaîtra à la juridiction de proximité que Monsieur DE LESPINAY est un spécialiste non pas des procédures mais de l’accusation de la justice et du système judiciaire qu’il accuse de tous les maux à savoir « Juge corrompus, Avocats marrons, procureurs peu diligents, etc… » et il apparaît de la lecture des blogs de Monsieur DE LESPINAY que celui ci aurait tour à tour été mis, dans le cadre de son activité commerciale en redressement puis en liquidation judiciaire, interdit de gérer, interdit bancaire, failli puis par la suite divorcé, en surendettement etc … , accusant tour à tour l’ensemble des auxiliaires de justice et la justice de tous les maux dont il souffre aujourd’hui. » Bien entendu, le juge Castagnet ne relève pas cette info mais vu la façon dont il m’a  condamné au maximum en biaisant les faits on devine qu’il voulait bouffer du Lespinay… On va voir comment au chapitre suivant.
  14. L’avocate m’informe de deux reports dont le second pour le 18 novembre 2014. Pourtant l’audience aura lieu le 20 janvier 2015. Quand je lui demande une explication sur ces reports, avec copie à Aviva, aucun des deux ne répond !
  15. L’audience a lieu le 20 janvier 2015 sans que Me Lucchesi ne m’en informe ! Il m’est donc impossible d’y être présent pour l’assister, de voir comment elle me défend. C’est pour moi la démonstration qu’elle entend bien me faire perdre.
  16. Par contre, pour me signaler que « je » suis débouté (et pas elle, sinon elle aurait dit « nous » comme les autres avocats), elle fait fissa ! Le jugement est rendu le 3 mars et dès le lendemain elle m’en informe par courrier :  Justifications tardives Lucchesi du procès perdu (4 mars 2015).

J’ai décrit toutes ces doléances au service juridique Aviva en leur demandant de sanctionner Me Lucchesi d’une façon ou d’une autre. Ils me répondent qu’il n’y a rien à lui reprocher, que d’ailleurs c’est « mon » avocate, pas la leur ! Ils n’agiront pas contre elle. En effet, comme vous avez pu le voir tout indique qu’ils sont complices.

VI – Jean-Michel Castagnet, juge malhonnête

Si vous voulez décider par vous-même du degré de corruption du juge Castagnet, voici son jugement du mars 2015.

1 – Sur le fait que Tocquer n’avait pas le droit d’exercer en vertu de la loi (voir la position de la DGPP), le juge prétend qu’elle n’était pas une professionnelle. Pourtant, elle s’est constamment présentée comme telle. Son site web est celui d’une agence de Biarritz nommée TyAnne Location (elle l’écrit même à la main en bas du contrat). Mon virement a été fait vers Tyanne Locations :

Virement vers Tyanne location

Quant au contrat lui-même, voilà comment il m’est proposé au départ :

TYANNE Location de meublés de vacances

La corruption du juge Castagnet éclate donc quand il prétend que Mme Tocquer ignore tout de son agence de location TYANNE Location qui a son propre site web vu du monde entier, et que le contrat que je présente ci-dessus est un faux grossier !

2 – Le juge m’accuse carrément de n’avoir pas fait faire un constat d’huissier pour établir la « preuve irréfutable » ! Mais à quoi sert-il donc comme juge ? C’est à lui de décider que cette preuve n’était pas nécessaire. Fallait-il en entrant dans les lieux  un samedi après-midi en plein mois d’août que j’établisse une preuve « irréfutable » en courant derrière un huissier forcément en weekend alors que je disposais de photos accablantes et du contrat ? Sans oublier que par la suite je disposais aussi de l’absence de dénégation de la part de Tocquer sur la plupart des faits ? Peut-il sérieusement imaginer qu’arrivant dans une location et demandant à y rester puisque la logeuse prétend y faire les travaux demandés, nous allons empoisonner définitivement notre relation avec un tel escroc au très mauvais caractère en faisant intervenir un huissier ? Opération qui ce serait faite de plus à mes frais, auxquels il aurait fallu ajouter le coût de la location et des 15 jours de séjour à Biarritz ? Le fait que j’ai immédiatement demandé à la DGPP de venir voir le logement ne suffisait-il pas à prouver ma bonne foi ? De toute façon, cette mezzanine était non dissimulable, elle est sûrement telle quelle aujourd’hui encore et jamais Mme Tocquer n’a osé contester sa difficulté d’accès non décrite dans son contrat ni dans son site web ! Elle n’a jamais proposé un témoignage de ses locataires précédents affirmant que mes photos étaient des faux. On peut d’ailleurs se demander à quoi sert la DGPP puisqu’elle ne s’est pas déplacée et s’est contentée de transmettre ma plainte à la mairie de Biarritz… qui n’a rien fait. Nous sommes encore face à ces « services » d’Etat qui n’ont de service que le nom.

3 – Le juge prétend que si Mme Tocquer n’est pas loueur professionnel, elle s’exonère des services normalement offerts et peut donc escroquer ses clients : pas d’état des lieux, circulation dangereuse (mezzanine), surface falsifiée, etc. ! Or, comme le signale la DDPP qui semble connaître mieux la loi que lui, Mme Tocquer n’a pas déclaré sa location à la mairie : « depuis le 1er juillet 2010, toute personne qui offre, en location permanente ou saisonnière, une ou plusieurs chambres meublées situées chez l’habitant ou un meublé classé tourisme (villa, appartement ou studio meublé) pour accueillir des touristes doit en faire la déclaration préalable, avec accusé de réception, auprès de la mairie du lieu de l’habitation (art. 24 de la loi du 22 juillet 2009 du développement et de modernisation des services touristiques ) » Vous remarquerez que la loi dit bien « toute personne » et non « tout loueur professionnel » !

4- Il prétend également, ce corrompu, que Tocquer a communiqué les informations « nécessaires » à l’exécution « de bonne foi » du contrat ! Pourtant tout démontre la mauvaise foi de sa cliente et ses tromperies.

5 – « attendu qu’à défaut de production d’un état des lieux, le preneur est présumé avoir bénéficié d’une délivrance conforme des lieux loués » Le beau juge corrompu que voilà ! Si je fais appel à lui c’est justement pour qu’il convienne que j’ai réclamé un état des lieux, que Mme Tocquer s’y est refusé alors que cette pièces a l’avantage de nous lier tous les deux, et que la seule raison possible à ce refus est la dissimulation : son appartement avait d’innombrables défauts, elle le savait et avait bien l’intention de me le louer à plein tarif.

6 – Comme si me débouter ne suffisait pas, le juge corrompu décide que mes différentes mises en cause ont été de nature à « occasionner un préjudice moral » à son escroc de client, Mme Tocquer. Il me condamne à 500 € de dommages et intérêts ! Mon préjudice moral, à moi, n’est pas pris en compte. Et pourtant mes vacances à Biarritz ont été gâchées et je me suis dépensé pendant 3 ans pour obtenir réparation en dépit des résistances de mon avocate et de mon assureur !

7 – En conclusion ultime, notre juge corrompu estime qu’il est justifié « aux plans de l’économie et de l’équité » de me condamner à payer les frais d’avocat de mon adversaire !

Et voilà comment en France un juge de plus a utilisé sa fonction pour condamner l’innocent et faire triompher l’escroc, afin de se venger d’un blog condamnant les juges corrompus comme lui. Jean-Michel Castagnet, comme lanceur d’alertes je vous ajoute à la liste de ces magistrats adeptes de la forfaiture.

 

 

 

I – Analyse rapide

Pour être honnête, je n’ai pas totalement gagné ce procès. Je suis condamné à un Euro symbolique et à enlever les qualificatifs « injurieux » par lesquels je baptise Pascal Koerfer dans l’exercice profondément malhonnête de sa fonction d’avocat (qualificatifs que l’on trouve partout ailleurs dans mon blog…). Mais…  il est débouté dans ses demandes de suppression de mes articles le concernant et les juges me donnent  le droit de continuer à l’accuser publiquement de ses méfaits !

Pour un homme comme moi habitué à perdre systématiquement et à être condamné au maximum chaque fois que je m’attaque à un représentant du système (ici un « auxiliaire de justice »), on pourrait penser que la justice a été clémente. Mais, vous allez voir, ce n’est pas vraiment le cas. Les juges ont tordu la vérité pour me rendre (légèrement) coupable afin qu’ils puissent me condamner à l’Euro symbolique et donner l’impression que c’est moi qui ai perdu ce procès. Mon titre victorieux a été rédigé pour contrecarrer ce projet. Finalement, tout indique qu’ils n’ont pas du tout aimé ce qu’ils ont appris sur Koerfer grâce à mon blog…

II – Koerfer démissionne avant même l’issue du procès !

Je vous disais l’année dernière que je vous tiendrai au courant du procès en diffamation intenté contre moi par Koerfer. Eh bien nous y voilà. Il a eu lieu le 13 mai et la décision a été rendue le 1er juillet 2015. Puisqu’un jugement est public j’aimerais bien l’afficher ici in extenso ou vous donner un lien vous permettant de le lire mais, dixit mon avocat, si tout jugement est public sa publication, elle, ne peut pas automatiquement être rendue publique… En effet, dans mon cas, ce serait de la diffamation puisque réapparaîtraient les qualificatifs que l’on m’a demandé de supprimer. Ceci dit, si vous ne les devinez pas, vous les trouverez dans l’assignation de Koerfer (un pdf) qui reste accessible puisque le jugement ne m’a pas demandé de le supprimer.

Premier signe avant-coureur de ma victoire dans ce procès, avant même que le jugement soit rendu, Koerfer a soudain démissionné de son rôle d’avocat auprès de mon frère et ma sœur. Exactement ce que je demandais vainement au bâtonnier Frédéric Landon. Ils ont du en catastrophe se chercher un autre avocat.

Notez bien que Koerfer a démissionné sans même attendre le jugement ! Il a probablement obtenu des infos de la part des juges, infos que moi, bien entendu, je n’ai pas eues… Cette victoire justifie à elle seule le risque que j’ai couru en alimentant ce blog.

III – L’impact terriblement négatif de mes articles sur le bizness de Koerfer

Plusieurs personnes m’ont dit suite à mon premier article sur Koerfer que je n’imaginais probablement pas l’ampleur de l’impact négatif de cet article sur son image et ses affaires. J’ai vérifié. En effet, si l’on écrit seulement « Pascal Koerfer » dans Google, la 3ème occurrence c’est mon article sur lui avec son titre sanguinolent ! Toute personne qui s’intéresse à cet homme tombe automatiquement sur mon blog et découvre qu’il est sujet à des critiques extrêmement graves.

En me donnant le droit de poursuivre mes accusations contre lui dans mon blog, les juges m’assistent sciemment dans la destruction de sa réputation qui va conduire à sa chute professionnelle, d’où sa démission soudaine.

Je n’avais pas imaginé qu’on en arriverait là. Je croyais Koerfer assez intelligent pour ne pas se laisser enfermer dans cette nasse et venir régler directement le problème avec moi. Il ne l’a pas voulu préférant agir brutalement comme d’habitude sur son terrain privilégié d’avocat : un tribunal. Il se doutait bien pourtant vu mon blog que j’allais y ajouter un article gratiné sur lui. D’autant plus que j’en avais prévenu ses copains et clients : mon frère, ma sœur et mes cousins. Il a tout fait de travers et récolté ce qu’il a semé. Ce n’est vraiment pas quelqu’un d’intelligent.

IV – Un jugement qui désavoue Koerfer 

Vous pouvez prendre connaissance du jugement (expurgé des mots caviardés) ici : Jugement diffamation Koerfer expurgé.

Ma victoire aurait du être totale et Koerfer condamné car les juges refusent de lui accorder l’essentiel de ce qu’il demande, à savoir « l’interdiction faite à Jean-Philippe de Lespinay de tenir, à l’avenir, de manière directe ou indirecte, les accusations objets de la présente procédure« . Ils m’interdisent seulement  de donner à Koerfer le qualificatif qu’il mérite, présent un peu partout dans mon blog. J’ai donc l’autorisation légale de relater publiquement sa malhonnêteté aussi souvent qu’il me plaira ! Ils ne réclament ni la fermeture de mon blog qui pourtant accuse de corruption nombre des leurs, ni la suppression des articles décrivant les agissements de Koerfer. Et même, « par équité », ils ne me condamnent pas à l’article 700 qui me contraindrait à payer les frais d’avocat de mon adversaire. En somme, ce jugement est un désaveu cinglant de Koerfer.

Contrairement à l’habitude quand je subis l’attaque d’un représentant du système, je m’en sors blanchi. Les juges n’ont pas cherché à me faire payer mon blog qui met en accusation la justice française et son système judiciaire. C’est sûrement là-dessus que comptait Koerfer. C’est lui qui avait suggéré à mon frère de s’en servir pour corrompre la juge des tutelles de la Roche sur Yon et ça a parfaitement marché puisqu’il ne m’a jamais convoqué avant de donner à mon frère vivant à 450 km de là la tutelle de ma mère avec qui je vivais. La justice parisienne serait-elle plus honnête que la justice de province ? On dirait bien…

V – …mais un jugement qui ne parvient pas à faire preuve d’honnêteté : il  s’agit toujours de me faire perdre. Heureusement, en passant, il condamne la mise sous tutelle de ma mère par Oesinger !

Il y a donc du mieux mais peu mieux faire. Vous allez voir que les juges, tout en reconnaissant ma souffrance, causée part la corruption de Koerfer mais aussi de Claude Oesinger, n’ont manifestement pas voulu m’accorder la victoire totale qui m’est due :

  1. Les juges commencent par signaler que, par rapport à un journaliste « Il est laissé une plus grande liberté d’expression pour une personne personnellement impliquée dans les faits qu’elle évoque ». Puis ils me donnent (l’extrême) onction en admettant pour la première fois la réalité de mes tourments : « attendu qu’il n’était pas illégitime pour Jean-Philippe de Lespinay de faire état dans son blog des difficultés qu’il rencontrait spécialement depuis le départ de sa mère de la propriété familiale où il vivait également depuis 2005, de la dégradation de l’état de santé de sa mère comme de la procédure de tutelle dont celle-ci a fait l’objet ; Qu’il est incontestable que la procédure de protection de sa mère, engagée sans qu’il en soit informé, circonstance que la cour d’appel de Poitiers dans son arrêt en date du 30 janvier 2013 a relevée en « déplorant » que Jean-Philippe de Lespinay en « sa qualité de fils de la personne à protéger ait été tenu dans l’ignorance totale de la procédure de protection à laquelle il n’a jamais été associé alors qu’il était parfaitement identifié par ses frère et sœur comme étant le responsable des désaccords familiaux », suivie, comme il le souligne, de difficultés pour entrer en contact avec sa mère, du refus opposé par son frère que celle-ci regagne son domicile, de la procédure d’expulsion engagée à son encontre devant le juge des référés puis, du décès de sa mère dans un hôpital constituent des circonstances qui n’ont pu que créer chez Jean-Philippe de Lespinay, un sentiment d’impuissance et attiser sa peine ;  que si l’identité d’avocat défendant à la fois les intérêts de sa mère, sous la tutelle de son frère Charles, et les intérêts de celui-ci, a pu le choquer, et s’il peut être relevé, comme il le souligne dans ses écritures, qu’il s’est adressé à l’autorité ordinale pour s’en plaindre, il ne pouvait se prévaloir d’une réponse de cette autorité ne correspondant pas à ses attentes pour imputer au demandeur des faits aussi graves, de façon aussi virulente et affirmative, sans prendre en considération le caractère subjectif de son appréciation des intérêts de sa mère ; Que la démesure dans l’expression de son ressentiment et de ses griefs à l’égard de Koerfer ne permet pas de lui accorder le bénéfice de la bonne foi».
  2. Mais d’où sort cette « démesure » ? Elle tombe comme un cheveu sur la soupe puisqu’il est convenu que j’avais toutes les raisons d’être choqué. Comme dans bien d’autres jugements qui m’ont condamné, je prends en pleine figure cette combine insupportable des magistrats qui consiste à accuser un justiciable sans preuve pour épargner son adversaire. Il n’y d’ailleurs aucune démesure aux yeux du tribunal puisqu’il m’autorise à conserver tels quels mes propos ! Seulement expurgés des quelques mots qui qualifient les actes de Koerfer comme ils le méritent. Lisez mes articles précédents sur Koerfer et vous constaterez l’absence de « démesure ». Je relate des faits. Je ne suis tout de même pas idiot, je reste attentif à la diffamation.
  3. Comment la démesure d’un sentiment peut-elle être « non de bonne foi » ? Ce double non-sens établit avec certitude la mauvaise foi… des juges, donc leur volonté de ne pas me donner entièrement raison. Leur jugement me condamnant au caviardage et à l’Euro symbolique repose sur cette fameuse « non bonne foi » qu’ils ne tentent même pas de démontrer. Ensuite, pourquoi les juges s’intéressent-ils à ma « démesure » et jamais à celle de Koerfer ? Pourquoi qualifient-ils mes actes et jamais ceux de Koerfer ? Un avocat est-il au-dessus des lois ? La « démesure » de mon ressentiment n’a-t-elle pas le droit d’être comparée à la démesure des fautes extrêmement graves de Koerfer ? Je lui reproche tout de même – entre autres – d’avoir hâté la mort de ma mère et tenté de me faire expulser « de sa part » et sans son accord ! La justice vous imposerait de seulement susurrer « aïe » quand un avocat vous assassine ?
  4. La combine des juges consiste à s’appuyer sur une accusation sans preuve pour établir ma mauvaise foi : ma (pseudo) démesure implique que je ne suis pas de bonne foi, ce qui entraîne tout naturellement à inférer que je suis de mauvaise foi. J’en profite pour souligner que, jusqu’à aujourd’hui, aucun juge n’a osé m’accuser frontalement de mauvaise foi. Il est évident qu’ils me considèrent de bonne foi. Ni Koerfer, ni son bâtonnier, ni les juges, ne contestent la relation dans mon blog des actes commis par Koerfer. Voilà la démonstration de ma bonne foi.
  5. Les juges invoquent mon ressentiment exagéré envers Koerfer. Mais je n’en ai pas. Alors, il ne peut être exagéré. Je ne le connais pas. Pour moi c’est un médiocre croisé sur ma route, l’instrument naïf de mon frère, ma sœur et mes cousins Rougé, qui a épousé leur cause causant du tort à ma famille et qu’il faut donc combattre. Encore une fois, il suffit de lire mes articles parlant de lui pour se rendre compte que je reste dans le factuel.
  6. « il ne pouvait se prévaloir d’une réponse de cette autorité ne correspondant pas à ses attentes pour imputer au demandeur des faits aussi graves, de façon aussi virulente et affirmative, sans prendre en considération le caractère subjectif de son appréciation des intérêts de sa mère ». Sauf que « l’autorité ordinale », à savoir le bâtonnier, m’a répondu sans contester mes dires ni me reprocher le moindre excès ! Il a seulement refusé de m’accorder la démission de Koerfer et des sanctions contre lui, sans jamais voir aucun excès dans mes propos. Je pouvais donc bien me « prévaloir » de la réponse du bâtonnier pour porter l’affaire dans mon blog et solliciter ainsi la diffamation qui mènerait Koerfer et moi devant un tribunal.
  7. Vous noterez que dans toute cette tirade le nom de Pascal Koerfer n’est pas cité. Celui de son bâtonnier Frédéric Landon non plus. Mais le mien, oui. Il s’agit de protéger les copains auxiliaires de justice ! Cela oblige à des circonvolutions du type : « l’autorité ordinale » ou « l’identité d’avocat«  sans préciser de qui il s’agit…
  8. « que si l’identité d’avocat défendant à la fois les intérêts de sa mère, sous la tutelle de son frère Charles, et les intérêts de celui-ci, a pu le choquer ». Les juges se gardent bien de dire POURQUOI je pouvais être choqué : il y a un conflit d’intérêt évident, que le bâtonnier aussi refuse de voir. Koerfer a défendu dans le plus grand secret les intérêts d’une partie opposée à sa cliente, une vieille dame, au point de la conduire à sa mort prématurée ! On comprend mieux pourquoi j’ai pu être « choqué ». Les juges s’abstiennent de décrire le conflit car sinon ils seraient contraints de convenir de la corruption de Pascal Koerfer, auxiliaire de justice, ce qu’ils veulent éviter à tout prix. Dans le « système » on se protège !
  9. Toujours pour tenter de me refuser « le bénéfice de la bonne foi », les juges font référence aux « articles 35 et 55 de la loi du 29 juillet 1881 ». Sans explication. Sans même en citer un extrait. En fait, ces articles sont hors sujet ! Cela me rappelle les pires moments de mes discussions avec Wikipedia qui supprimait l’ensemble de mes articles et toutes les références à mon invention et à nom en vertu d’un n° de règlement obscur, lequel après enquête ne contenait rien en rapport avec mes écrits. Messieurs les juges, honte à vous ! Vous pratiquez l’enfumage. L’article 35 invoqué pour nier ma bonne foi vient en fait à l’appui de ma défense ! Il stipule que l’on ne doit pas diffamer quand ça concerne « la vie privée de la personne », ou « des faits remontant à plus de dix années », ou « un fait constituant une infraction amnistiée ou prescrite, ou qui a donné lieu à une condamnation effacée par la réhabilitation ou la révision », ce que justement je n’ai pas fait. Quant à l’article 55, il repose entièrement sur une condition hors de propos : « Quand le prévenu [moi en l’occurrence] voudra être admis à prouver la vérité des faits diffamatoires [il devra présenter des citations, des pièces et des témoignages] ». Mais justement, je n’avais pas à prouver la vérité des faits pour la bonne raison que ni Koerfer qui portait plainte, ni son bâtonnier qui a pris connaissance du dossier, n’ont contesté ma description des faits ! J’ai même proposé au bâtonnier de lui communiquer les pièces qu’il jugerait nécessaires pour se faire une opinion mais il s’est bien gardé de me les demander.

Finalement, l’embarras des juges pour me condamner révèle la force de ma position. Je ne suis condamné qu’à l’Euro symbolique et à supprimer les propos jugés diffamatoires, à savoir les mots « corrompu » et « corruption ». Mais Koerfer ne pourra s’en vanter car le texte de mon article demeure un accablant réquisitoire contre  lui.

Il n’en reste pas moins que j’aurais du gagner ce procès et Koerfer aurait du être condamné.

VI – Conclusion : un jugement malgré tout clément

En dépit de cette malhonnêteté des juges il me faut convenir que, puisque nous sommes en France, ils ont tout de même été cléments envers un ennemi du système. Ils ne réclament ni la fermeture de mon blog qui pourtant accuse de corruption nombre des leurs, ni la suppression des articles décrivant les agissements de Koerfer ni, « par équité », ne me condamnent à l’article 700. C’est à dire que, contrairement à l’habitude quand je sors d’un tribunal, je ne suis pas condamné au maximum et je ne paie pas les frais d’avocat de l’adversaire. Je paie les frais du mien. Ce jugement désavoue Koerfer.

Plus sympa encore, en dépit de ma « non bonne foi », les juges refusent d’accorder à Koerfer « l’interdiction faite à Jean-Philippe de Lespinay de tenir, à l’avenir, de manière directe ou indirecte, les accusations objets de la présente procédure« . Je peux donc répéter mes accusations contre lui aussi souvent qu’il me plaira.

La clémence de ce jugement démontre que les magistrats ont reconnu le sérieux de mes arguments contre Koerfer et ont voulu le sanctionner. Pour ceux qui en doutaient, c’est le 3ème jugement consécutif qui confirme que je ne suis ni un rigolo, ni un parano, ni un mythomane, ni un psychopathe. C’est aussi le 2ème qui condamne la décision du juge des tutelles de la Roche sur Yon pour avoir donné à mon frère en secret la tutelle de ma mère (page 15). Sauf que ces condamnations de magistrats ne sont pas suivies d’effet. On est en France !

Un autre point positif : c’est le premier jugement qui reconnaît explicitement les torts de mon frère et ma sœur dans le conflit qui nous oppose et le mal qu’ils ont causé à notre mère, donc mon innocence.

Mes articles sur Koerfer étaient indispensables…

Pour la petite histoire, ce jugement est le moyen terme convenu entre deux francs-maçons : j’étais soutenu par un ami franc-maçon qui m’a introduit auprès du célèbre cabinet Szpiner (que je remercie chaleureusement d’ailleurs car il m’a aidé avec beaucoup d’intelligence) et Koerfer lui-même était soutenu par ses copains francs-maçons. Je n’ose imaginer ce qu’il serait advenu de moi si je ne m’étais pas présenté avec le soutien de Me Szpiner… 

I – Koerfer tombé dans la nasse !

Ce blog est celui d’un « lanceur d’alerte : «quelqu’un qui signale publiquement la corruption de son pays espérant qu’elle finira ainsi par disparaître ». Il existe depuis 2010, d’abord hébergé chez Canalblog, un site français qui un jour a tout supprimé sans préavis sur simple plainte d’un anonyme et sans me demander de présenter ma défense. Nous sommes en France, le pays de l’injustice protégée, n’oublions pas. Du coup, j’ai installé mon blog aux US chez Posterous qui n’était pas très ergonomique mais n’a pu être supprimé. Puis je l’ai déplacé chez WordPress, toujours aux US, un site qui me satisfait pleinement.

En quatre ans, j’ai été convoqué UNE fois à la gendarmerie à cause de mon blog et ce n’était pas pour instruire une plainte ! C’était suite à une « demande d’information » de l’ex-bâtonnier Yann Vilatte qui s’offusquait légèrement de mes propos sur lui dans mon blog… Pour donner plus de poids probablement à son geste, il incluait bizarrement dans ses doléances celle du magistrat nantais Daniel Castagné, notoirement corrompu, contre qui j’ai porté plainte pour forfaiture en 2005. Plainte jamais instruite à ce jour, ce qui montre la force de ma position. Comme je le relate dans ce chapitre, j’ai maintenu mes propos et il n’y a jamais eu de suite.C’est ça mon problème : les corrompus que j’attaque publiquement font le gros dos et la justice ne revient jamais sur leurs forfaitures.

Ce mois-ci, décembre 2014, est un grand jour ! Pour la première fois de l’histoire de mon blog un des individus que j’y vilipende ose me traîner au tribunal pour « propos constitutifs du délit de diffamation publique » envers lui. Je vais enfin me retrouver dans un tribunal pour répéter et valider mes accusations contre lui.

Vu la pauvreté de son argumentation, tout indique que Koerfer a été contraint de me poursuivre en diffamation. Ne pas l’avoir fait revenait à reconnaître publiquement ses torts et donc l’obligeait à changer de métier. Il pourra toujours dire à ses clients : « Ah oui ! Cet article honteux ! Ne vous inquiétez pas, je le poursuis en diffamation. Ça va le calmer. » Et quand il perdra (s’il y a une justice), il n’en parlera pas… Sauf que, moi, j’en parlerai. Maintenant, il est dans le piège. Je ne vais pas le lâcher. Cette grand première est essentielle pour moi car le faire condamner, c’est condamner en cascade tous ceux qui ont récemment fait l’objet d’un article dans mon blog : son bâtonnier, mon frère et ma sœur, mes cousins, le notaire Lafouge, les deux juges des tutelles qui ont livré et maintenu contre vents et marées ma mère entre les griffes de mon frère, de ma sœur et de Koerfer (puisqu’elles les ont laissé plaider mon expulsion et le maintien de mon frère comme tuteur contre l’intérêt de ma mère).

Dans les 80 pages du dossier « à charge » de Pascal Koerfer il n’y a… rien ! Il ne cherche même pas à se défendre ! Il se contente de reproduire l’intégralité de mon article sur lui, pour faire volume, répétant cinq fois :  « De telles imputations portent incontestablement atteinte à l’honneur et à la considération de Monsieur Pascal Koerfer » (ce qui est le but évident recherché par l’auteur).

Finalement, il réclame 1 € de dommages et intérêts. Valent pas cher, son honneur et sa considération ! Cependant, on le reconnaitra bien là, il revient vite à ses vieilles habitudes : il me réclame 10 000 € pour ses frais d’avocat… oubliant qu’il est avant tout son propre avocat (même s’il prétend avoir délégué la tâche à un autre avocat : Jean-Yves Dupeux, avocat au barreau de Paris). Tiens, tiens ! Pas du barreau de Versailles… Faut pas que ses turpitudes ne s’ébruitent trop dans son Landerneau ! Il réclame aussi la suppression des accusations de mon blog contre lui, sous astreinte de 10 000 € « par infraction constatée » ! Va avoir du boulot le juge à éplucher mes articles sur Koerfer pour en ressortir les infractions ! Au moins cela fera un juge à s’intéresser à mon travail de lanceur d’alerte.

II – La pitoyable « défense » de Koerfer…

Vous allez voir, son honneur vaut 1 € et sa défense… pas plus.

La plaidoirie de Pascal Koerfer fait 19 pages plus une soixantaine de pages de documents en annexe, dont un procès-verbal de constat d’huissière de justice… absolument passionnant.  Il relate qu’elle a pris un ordinateur de la marque DELL sous Windows 7 Professionnel et s’est connectée à Internet à l’aide d’une connexion SDSL 4 Mb/s dépourvue d’accès à un serveur Proxy en utilisant le logiciel de navigation Internet Explorer 11 version 11.0.9600.17358, qu’elle a supprimé les « fichiers Internet temporaires », supprimé les sites web visités et les cookies dans la rubrique « fichiers Internet temporaires »… Tout ça pour quoi ? Pour dire que si elle cherche « jean philippe de lespinay » dans Google il s’affiche 42 600 résultats, le deuxième étant le sommaire de mon blog. Elle reproduit toutes les pages du sommaire (illisibles) puis dit qu’elle a cliqué sur le lien « 2014-Pascal Koerfer, avocat corrompu, (etc.) » mis en ligne le 17 octobre 2014 et qu’enfin elle joint copies des pages de l’article (illisibles). Suit sa signature. C’est tout… Ça s’appelle un « constat ».  Tout ça pour prouver l’existence d’un article que je revendique !

Voilà ses arguments :

  1. « Les attaques dont [Pascal Koerfer] est l’objet sont d’autant plus injustifiées et dommageables qu’elles sont mensongères » . Ah ? Ce serait donc injustifié de mentir ? 🙂 Et d’ailleurs où est le mensonge svp ? Nulle part Koerfer ne va s’attacher à résoudre cette question épineuse.
  2. « Cependant, il est constant qu’à la date de rédaction du texte litigieux, M. Pascal Koerfer n’avait fait l’objet ni d’une condamnation pénale, ni même d’une sanction disciplinaire« . Pas vu, pas pris, quoi ! Jolie défense ! Sauf que dans mon cas il a été vu et que j’espère bien qu’il sera pris, dans l’intérêt de ses clients (honnêtes, s’entend).
  3. « L’atteinte à son honneur et à sa considération ainsi commise par M. Jean-Philippe de Lespinay crée incontestablement un préjudice très important à M. Pascal Koerfer« . A part le fait que Koerfer n’a pas d’honneur, c’est bien le but visé. Et qu’il se garde de calculer « l’importance » du préjudice…
  4. Koerfer ajoute que son bâtonnier (pas plus honnête que lui, voyez cet article…) a pris sa défense en refusant de le condamner pour ses actes délictueux « tant les conditions du conflit d’intérêt ne sont pas réunies » ! Sauf que le conflit d’intérêt est indiscutable : comment appelle-t-on cette situation où un avocat assiste à la fois son client et ses adversaires ?
  5. S’appuyant sur la décision contestable et non argumentée de son bâtonnier, dont il faut tout de même souligner qu’il ne voit pas de diffamation dans mes propos et ne s’en indigne pas, il conclut : « cette constatation suffit à démontrer que M. Jean-Philippe de Lespinay ne disposait d’aucun élément lui permettant de s’exprimer comme il l’a fait » . Ah, ah ! Parce que son copain ne veut pas le condamner, alors il est innocent ! Pas croyable cette naïveté, vous ne trouvez pas ?

C’est tout… Le lecteur appréciera. Koerfer ne peut rien nier. Il a bien fait tout ce que je lui reproche et il sait que j’ai toutes les pièces qui l’accablent.

Si vous voulez juger par vous-même de son absence de défense, vous pouvez lire la copie de l’assignation (un pdf): Koerfer me poursuit en diffamation.

Je suis cité à comparaître le 18 mars 2015 à 14h au TGI de Paris, 4 bd du Palais. Je vous invite tous à venir voir comment se rend la justice en matière de corruption en France et la défense du citoyen. Mais attention ! Koerfer ayant l’habitude de repousser sans cesse les audiences en exploitant toutes les ficelles de procédures quand il sait qu’il va perdre, il est tout à fait possible que l’audience ait lieu en 2016 !

Je vous tiens au courant.

I – Préambule : cet article rédigé en 2014 a été caviardé en 2015 sur demande de la justice…

Suite à une décision de justice, ayant été poursuivi pour diffamation dans el cadre de mes accusations publiques et justifiées contre Pascal Koerfer, j’ai été contraint de retirer en août 2015 quelques mots dans cet article de 2014 (les mots « corrompu » et « corruption »). Il a cependant atteint mon but car la justice n’a pas donné suite à la demande de Koerfer de supprimer mes accusations contre lui qui portaient tort à son « honneur ».

Très important : le jugement ne m’interdit pas de signaler publiquement les actes commis par Koerfer :« Qu’en revanche, il ne peut être fait droit à la demande de Pascal Koerfer tendant à ce qu’il soit fait interdiction à Jean-Philippe de Lespinay de tenir, à l’avenir, de manière directe ou indirecte, les accusations objets de la présente procédure ». 

Les juges m’ont donc donné le droit de maintenir dans mon blog mes accusations telles quelles. Le texte caviardé est identique à quelques mots près et son honneur toujours à sa place : très bas. La leçon c’est qu’en France, sachez-le, un avocat à l’évidence corrompu ne peut être condamné pour corruption puisqu’il est « auxiliaire de justice » c’est à dire membre de la confrérie de tous ces fonctionnaires du système judiciaire persécutant les honnêtes gens.

Plus probant encore, avant que le jugement soit rendu, j’ai obtenu ce que je réclamais vainement à son bâtonnier : Pascal Koerfer a de lui-même démissionné comme avocat de mon frère et ma sœur. Un aveu d’abord très significatif, mais aussi qui montre qu’un avocat est au courant des décisions de la justice le concernant avant son adversaire ! Comme je le dis souvent : dans notre pays « il y a Français et Français ». A vous de voir dans quel camp vous êtes.

Si vous voulez retrouver l’état antérieur de l’article et comprendre ce que j’ai du retirer, lisez son assignation (un pdf) qui, elle, était déjà dans mon blog et n’a pas fait l’objet d’une demande de suppression. Je signale que l’on retrouve partout ces expressions dans mon blog contre d’autres fonctionnaires ou magistrats sans qu’aucun des juges, avocats ou bâtonniers incriminés n’ait osé s’en plaindre. Me Koerfer lui-même n’a jamais osé porter plainte contre moi ce qui l’aurait forcé à répondre à mes accusations. Il ne m’a jamais contacté pour me demander d’amender ma prose. Comme le démontre mon article « Enfin ! L’avocat Pascal Koerfer porte plainte en diffamation contre moi ! J’ai réussi ! « , il ne conteste même pas ma version des faits. Il se contente de réclamer la suppression de mes articles à son sujet. Or, pour moi ils ont été justement écrits pour en avertir ses clients. En tant que lanceur d’alertes sur les méfaits de l’administration française, Je suis une mission de service public. Sauf que, moi, je ne suis pas payé 10 000 € par mois. Même pas payé du tout…

C’est toute la subtilité des juges dès qu’il s’agit de protéger un copain, un « auxiliaire de justice » : on a le droit de l’accuser mais pas de le qualifier ! Cette protection est une atteinte à la liberté d’expression extrêmement grave car elle permet à ce genre de personnages protégés par le système de continuer à exercer en toute impunité. En matière de communication, l’information commence par des titres résumant le message, si possibles frappants. On ne peut se contenter de se lancer dans une description en long et en large, laissant au lecteur le soin de deviner quelles sont les intentions de l’auteur.

II – Les amis de mes ennemis sont mes ennemis : Maître Pascal Koerfer, ami avocat de mes cousins secrètement mes ennemis, donc mon ennemi, donc avocat de mon frère-ennemi…

Vous avez peut-être constaté dans mon blog qu’à partir des années 2011 mes conflits avec les administrations de tous poils semblent avoir cessé. Il faut dire que l’objet du délit, mon entreprise, a coulé pour la troisième fois grâce à leurs efforts acharnés et leurs complices magistrats. Cela m’a ruiné et empêché de promouvoir mon invention la Maïeutique – justement le but visé – sauf que je suis toujours vivant et combatif ! Et eux ? Je m’attendais à un calme mérité une fois forcé au chômage puis en retraite. Mais, c’est apparemment mon karma, un conflit chasse l’autre. C’est avec mon frère et ma sœur désormais que je lutte presque quotidiennement…

Mi-2011, ils intentent contre ma fille et moi – qui ne leur avons jamais causé le moindre mal, il faut le souligner – une procédure d’expulsion en référé ! Coup de tonnerre dans un ciel bleu. Nous occupons une maison dans la propriété de famille et ils ont décidé de vendre cette propriété contre mon gré alors que notre vieille mère y habite aussi. On doit gêner… C’est sûrement ce qu’on appelle l’amour filial et fraternel ! Fin novembre 2010 ils en avaient déjà délogé notre malheureuse mère. Restaient leur frère et sa fille. Puis après, ce sont nos locataires qui seront maltraités et feront leurs valise !Toujours dans l’inaction totale de la justice en dépit de mes nombreuses plaintes et procès.

Je découvre avec stupeur que mon frère Charles réclame mon expulsion « pour protéger les intérêts de notre mère » et qu’il se présente comme son tuteur ! D’abord je ne vois pas très bien comment je peux nuire aux intérêts de ma mère qu’il a retiré de chez elle et surtout en tentant constamment de la protéger de la maltraitance qu’elle subit de la part de mon frère et de ma sœur. Ensuite je n’ai jamais été averti par la justice que mon frère est devenu son tuteur ! Un jugement joint à l’assignation confirme qu’en effet il a été nommé tuteur un mois auparavant dans le plus grand secret. Pour en savoir plus lisez « 2011 – Un juge corrompu, Claude Oesinger, accorde la tutelle de ma mère à mon frère ennemi, en secret ! » Enfin, je ne comprends pas qu’un avocat attaque pour le compte de sa cliente un allié de cette cliente – qui plus est son fils ! – sans jamais avoir tenté auparavant de le contacter pour lui expliquer de quoi il retourne.

Je téléphone aussitôt à ma mère pour savoir si elle est au courant qu’elle me fait un procès. Pas du tout évidemment ! Elle n’en revient pas puis se met à pleurer. Elle m’assure qu’elle n’en savait rien et que jamais elle ne chercherait à nous expulser ma fille et moi de la propriété familiale. Au contraire, elle veut que nous y restions pour la garder dans l’attente de son retour (qui ne viendra jamais, mon frère et ma sœur y veilleront). Je lui demande – à diverses reprises – de m’adresser une attestation qui confirme ce qu’elle vient de me dire. Elle accepte à chaque fois mais je ne reçois jamais rien. Normal, elle habite chez mon frère, son tuteur qui filtre tout grâce à l’insupportable corruption de Claude Oesinger ! C’est lui qui poste les courriers, qui lit ceux de ma mère avant de les cacheter. Si le contenu lui déplaît, poubelle ! Et j’en ai la preuve. Ma mère, 86 ans, étant sous tutelle n’a plus aucun droit. C’est normal, on est en France. Elle peut dire ce qu’elle veut, aucun pouvoir officiel ne l’écoutera, seul son tuteur a droit à la parole ! Il parle et il pense pour elle. Si c’est un escroc, s’il lui veut du mal car il vise son héritage (ce qui est le cas !), elle peut mourir. C’est pour cette raison que jamais un juge de tutelle ne nomme un enfant tuteur de sa mère sans l’accord des autres. Et c’est vrai, ma mère est foutue ! Deux ans plus tard, elle mourra des mauvais traitements de mon frère et de ma sœur.

Pour me défendre je prends un avocat. Il est chargé à la fois de me défendre contre l’expulsion et de mon appel contre la nomination de mon frère comme tuteur. C’est ainsi que nous découvrons tous deux l’avocat de mon adversaire : Maître Pascal Koerfer. Il a un cabinet à Versailles et un autre à Paris et coûte fort cher si j’en juge les comptes de ma mère dans lesquels mon frère et ma sœur ont abondamment puisé à leurs fins personnelles. En somme c’est un « grand » avocat parisien… Pour ajouter aux mauvaises surprises, mon frère m’informe avec jubilation que cet avocat est un ami de nos cousins germains Rougé qui l’ont mandaté pour me faire rendre gorge ! Cruelle surprise, moi qui croyais que mes cousins et moi nous nous aimions et étions unis par les liens sacrés de la famille !

Intrigué par cette attitude de mes cousins devenus secrètement mes adversaires, j’enquête. Je découvre alors, progressivement, l’étendue des dégâts causés par mon frère et ma sœur. Ils n’ont cessé au cours des années de répandre dans mon dos des calomnies contre moi auprès de nos oncles, tantes et cousins habitant Paris. Trop loin de chez moi pour que j’en entende parler et puisse me défendre. Et ces idiots de la famille – il ne peut y avoir d’autre mot – m’ont condamné sans jamais m’adresser la parole ! Quant à ceux qui ne se sont pas laissé abuser – s’il y en a ! – ils n’ont pas pris la peine de m’informer de la cabale. Le plus étrange c’est que lorsque je tente de présenter ma défense à ces idiots de la famille, ils refusent d’écouter ! Pas un n’accepte. Incroyable.

C’est ainsi que l’on peut se faire des ennemis à vie sans le savoir et sans le mériter. Des médiocres il est vrai. Ceux-là ils peuvent aller se faire f… Là, au moins, le tri des déchets est automatique.

III – Le « grand » avocat parisien Pascal Koerfer perd son premier procès contre mon « petit » avocat de province et ne gagne pas ceux qui suivent en dépit de l’abondant argent de ma mère qui le paie sans qu’elle le sache

Avec mon « petit » avocat vendéen j’entreprends de me défendre contre le « grand » avocat parisien. Heureusement, quoique très fâché avec certains juges, je gagne sans difficulté le procès en expulsion, jugé de façon magistrale comme je le souligne dans mon blog à l’année 2012. Le jugement est si incontestable que jamais par la suite Me Koerfer, mon frère et ma sœur n’oseront retourner en justice pour le contester ! Il s’agit pourtant d’un « référé », c’est-à-dire d’une décision prise dans l’attente de la procédure normale.

Quant à l’appel contre la nomination de mon frère comme tuteur, il est à demi-gagné. Le juge de la cour d’appel de Poitiers me donne en effet raison « déplorant que l’appelant en sa qualité de fils de la personne à protéger ait été tenu dans l’ignorance totale de la procédure de protection à laquelle il n’a jamais été associé alors qu’il était parfaitement identifié  et désigné comme en conflit avec ses frère et sœur ». C’était exactement ce que je voulais établir. Mais, comme j’ai fait appel trop tard « étant tenu dans l’ignorance totale de la procédure de protection », il me déboute ! C’est vraiment affreux, il vient de désigner mon frère comme anormalement nommé par un jugement générateur d’abus de faiblesse envers sa mère et d’agressions contre son frère et pourtant il lui conserve le pouvoir légal de continuer ses nuisances. Toujours aussi nulle la justice d’État à la française ! En tout cas, on peut retenir que la justice me donnant raison sur le fond, si j’avais été informé à temps elle aurait destitué mon frère. Voilà pourquoi la juge des tutelles Claude Oesinger ne m’en a pas informé. Sans ce magistrat corrompu, ma mère serait peut-être toujours en vie aujourd’hui…

Je relance aussitôt la procédure de destitution de mon frère cette fois auprès de la juge des tutelles de Pontoise, Marie-Jeanne Seichel, dont ma mère dépend désormais puisqu’elle réside chez mon frère. Comme je le relate dans mon blog en 2013, les preuves d’abus de faiblesse et d’abus contre moi de la part de mon frère sont accablantes. Elle n’a pas le choix, elle va devoir lui retirer la tutelle. Mais c’est qu’elle ne veut pas ! Alors elle refuse de rendre sa décision. Elle attend la mort de ma mère. A cet instant fatidique, elle explique crânement à mon avocat qu’elle n’a plus à lui transmettre son jugement puisque ma mère est morte et que mon frère par le fait-même n’est plus tuteur. Il lui demande alors de nous dire quelles étaient ses conclusions concernant les abus de faiblesse de mon frère et notre demande de changement de tuteur. Elle s’y refuse. Elles auraient pu servir en justice, pourtant, et servir à abréger le conflit fratricide. La justice française est un cloaque immonde !

Ce refus de statuer permet de déduire que Me Koerfer, encore une fois, n’avait pas gagné (légalement du moins). Mon frère est resté tuteur faute de jugement par un vice de procédure voulu par la juge… Désavoué par la cour d’appel, engueulé par la juge des tutelles, il n’avait plus de légitimité. Sur le fond, j’ai gagné !

IV – Démonstration en quatre étapes que Pascal Koerfer a œuvré contre les intérêts de sa cliente

Officiellement, Pascal Koerfer a reçu pour mission de mon frère, tuteur, de défendre les intérêts de notre mère contre mes agissements (prétendument) contraires à ses intérêts. Je vais démontrer ci-après de façon irréfutable, en quatre points, qu’il a fait exactement le contraire. Voilà d’ailleurs la 1ère page de mon courrier du 29 juillet 2014 qui détaille ces points adressé au bâtonnier Frédéric Landon pour lui réclamer la démission de Koerfer comme avocat de mon frère et ma sœur (pour en lire la totalité du courrier voir cet article) :

A la lecture de ce courrier et de son argumentation en quatre points, le bâtonnier refusera de m’accorder la démission de Koerfer mais ne s’indignera pas de mes propos ni ne me dira qu’ils sont diffamatoires. Il juge donc mes accusations recevables, ce que va confirmer la justice « régulière » suite à la plainte en diffamation de Koerfer.

Depuis la parution de cet article j’ai reçu les appels de plusieurs clients de Pascal Koerfer très mécontents de lui, ravis de voir qu’ils ne sont pas les seuls à avoir été grugés et décidés à le poursuivre. Hélas, ils ont une telle trouille de la « justice » française qu’ils n’ont pas encore osé en témoigner par des commentaires dans mon blog.

Je vais maintenant passer en revue un par un les quatre points élaborés pour le bâtonnier Landon.

IV – Me Koerfer se moque des intérêts de sa cliente, elle est absente de ses pensées, il n’est préoccupé que des intérêts de mon frère et de ma sœur, qui le paient avec l’argent de sa cliente.

Le 4 octobre 2013 Koerfer adresse à mon avocat une lettre « officielle » (!) pour lui rappeler que mon frère et ma sœur sont ses « clients » depuis « toujours ». Aucune mention de ma mère, pourtant sa seule cliente. Comme aucun document ne le prouve et que ceux-ci ne l’ont pas payé de leur argent comme avocat, ce sont donc des clients occultes ! Il avoue ainsi n’avoir en réalité jamais considéré notre mère, qui elle le payait, comme sa cliente. Jugez par vous-même :

Koerfer, TOUJOURS conseil de Charles et Elisabeth

Devant tant d’impudeur, mon avocat lui répond vertement qu’il a menti. Pas de réponse. Un aveu de plus ! Voyez sa lettre, tout aussi « officielle » :

Foucher répond à Koerfer qu'il a menti

Que veulent mon frère et ma sœur dans cette affaire ? S’enrichir en vendant la maison de leur mère. Et qui s’y oppose ? Moi, leur frère, tant qu’elle vivra. Pour quelle raison ? Pour qu’elle puisse revenir y habiter, son souhait le plus cher. La source du conflit est limpide et Koerfer ne peut l’ignorer. Quelle est la volonté de ma mère ? Revenir chez elle parce qu’elle se sent très mal chez mon frère où elle vit désormais contre son gré. Pourquoi ne revient-elle pas ? Eh bien, si ma mère revient chez elle sa maison ne peut plus être vendue… Alors mes frère et sœur le lui interdisent carrément. Pour parvenir à la vente (à laquelle je m’oppose) ma seule présence dans la propriété est une gêne pour leur projet mais une protection pour ma mère qui veut y revenir. Alors il faut m’en expulser. D’où leur référé en expulsion. Pour cette action en justice, il leur faut un avocat peu regardant qui acceptera de faire prendre aux juges leurs vessies pour des lanternes. Un avocat qui ne coûtera pas cher car il ne sera pas payé par eux mais par leur mère sous tutelle sans qu’elle le sache. Tout cela, Koerfer NE PEUT L’IGNORER.

Koerfer, payé par Maman

Koerfer est payé par chèques de ma mère (son nom comme bénéficiaire est écrit par mon frère lui-même dans un relevé bancaire), il ne peut donc prétendre l’ignorer

Ci-après la 1ère page de l’ordonnance de référé pour mon expulsion, où Koerfer dit représenter ma mère. S’il représente aussi mon frère, c’est en tant que tuteur de ma mère donc pour défendre les intérêts de ma mère. Evidemment pas ceux de mon frère. Celui-ci voulant mettre toutes les chances de son côté me poursuit aussi en tant que gérant de la SCI puisqu’elle appartient pour un quart à notre mère. Sauf que moi aussi je suis copropriétaire de cette SCI avec le quart des parts et qu’elle n’a jamais débattu de la question de mon expulsion en assemblée. Bien entendu, Koerfer avec sa cécité coutumière, ne voit rien de ces évidences.

Demandeurs référé expulsion JP

Ci-dessous l’arrêt de mon appel contre la nomination abusive de mon frère comme tuteur de ma mère. Me Koerfer dit représenter ma mère tout en « assistant » deux de ses enfants, comme par hasard mon frère et ma sœur, et pas le troisième à savoir moi-même qui n’a jamais été consulté. Quant à ma sœur, elle est présentée comme « de Lespinay » et non « née de Lespinay ». Or depuis son mariage elle s’appelle « de Ravignan ». L’erreur commise par Koerfer a-t-elle été volontaire pour influencer le juge ?

Comparants cour d'appel contre Charles tuteur

De tout cela il ressort avec évidence qu’il y a conflit d’intérêt. Koerfer travaille pour une partie officielle et une autre officieuse qui a des intérêts contraires, contre une troisième partie qui, elle, tente de protéger la première, le tout appartenant à la même famille. Il n’a jamais informé quiconque et surtout pas la justice qu’il est l’avocat personnel de mon frère et de ma sœur. S’il l’avait fait, le conflit d’intérêt serait devenu évident car ma mère sa vraie cliente étant sous leur tutelle, elle n’a plus aucun pouvoir sur lui.

V – Me Koerfer sait qu’il n’y a pas de conflit entre sa cliente et moi et pourtant il invente ce conflit pour me poursuivre faussement « de sa part »

Parmi les pièces remises à Me Koerfer il y a ce mail rédigé par mon frère, le 28 août 2012 : « la directrice m’a appris que Diane et JP ont demandé à Maman si elle était d’accord pour les expulser, question insidieuse auprès d’une personne hors d’état de comprendre et que l’on essaie de prendre par les sentiments alors qu’elle a besoin d’argent pour payer la résidence où elle est soignée actuellement… Je rappelle que la décision d’expulsion a été confirmée par moi-même en tant que tuteur et qu’il n’est plus possible de manipuler Maman puisqu’elle est sous tutelle. »

Mon frère avoue donc que notre mère est hors d’état de comprendre l’expulsion qu’il sollicite pourtant de sa part… Il nous apprend également que c’est lui qui l’a décidée..D’ailleurs ce ne peut être elle puisqu’il dit lui-même qu’elle ne comprend rien à sa démarche. Elle est donc instrumentée ce que ne peut ignorer Koerfer. Mon frère justifie sa volonté de m’expulser en prétendant que notre mère a besoin d’argent. Mais, outre qu’elle est très loin de manquer d’argent et que cette question n’a jamais été abordée entre nous, quel rapport avec mon expulsion ? A moins d’avouer que mon expulsion de la propriété faciliterait sa vente, ce qu’il s’est toujours attaché à cacher. En effet cette vente empêcherait définitivement le retour de sa mère chez elle, justement ce que je lui reproche !

Non seulement ma mère est hors du coup mais le juge chargé de statuer sur mon expulsion désigne lui-même mon frère comme coupable :« Il résulte de l’ensemble des pièces versées que le fait s’inscrit dans le cadre d‘une rivalité et d’un conflit entre frères, ne permettant pas de caractériser l’existence d’un trouble manifestement illicite imputable au seul Jean-Philippe DE LESPINAY (…) La procédure de référé pour solliciter l’expulsion d’un frère par un frère, en urgence, sans qu’aucun véritable débat au fond n’ait pu s’instaurer, est inadaptée » (ordonnance du 27 septembre 2012). En bonne logique (mon domaine…) puisque ce n’est pas moi qui cherche constamment à nuire à ma famille, c’est bien mon frère Charles l’agresseur. Ce que le juge a vu si facilement, il est impossible que Koerfer ne l’ait pas vu. Et s’il prétend ne pas l’avoir vu, il n’osera jamais prétendre que le juge ne l’a pas informé et que rien ne l’obligeait à prendre ses distances avec ses commanditaires occultes…

En menant ce procès « de la part de ma mère », Charles joue volontairement un jeu très pénible. Cela pourrait me dresser contre ma mère. Je pourrais croire qu’elle m’attaque réellement. Mais il se trouve que je l’ai souvent au téléphone et constate chaque fois son affection et son ignorance des manigances de Charles. Sa complicité avec moi est grande au point qu’elle chuchote au téléphone quand mon frère est près d’elle (elle réside chez lui) de peur qu’il entende qu’elle me supplie de la faire revenir habiter chez elle en Vendée. Pascal Koerfer ne peut ignorer qu’il est l’artisan d’un risque de rupture douloureux entre sa vieille cliente et son fils Jean-Philippe bien aimé qui la brisera. Il joue pourtant le jeu de mon frère contre l’intérêt de sa cliente.

En somme cet avocat œuvre pour : 1) détruire l’affection que sa cliente et moi nous nous portons, 2) lui faire perdre définitivement son foyer, 3) maintenir un conflit au sein de notre famille qui fait énormément souffrir sa cliente depuis des années, 4) que mon frère et ma sœur puissent continuer leurs abus de faiblesse envers elle qui la torturent et s’emparer de tous les pouvoirs dans notre propriété (jusqu’à voler les biens les plus précieux dans sa demeure dont ils sont seuls à avoir la clé).

Plus scandaleux encore : 5) Koerfer sait que c’est moi, et non mon frère et ma sœur, qui tente constamment de protéger notre mère et il tente de me casser. J’agis en bon fils en cherchant à la faire revenir chez elle et en refusant une vente qui pourtant ferait énormément de bien à mes finances. Il sait que mon frère et ma sœur, eux, en maintenant leur mère en exil de force, en s’opposant à toutes mes tentatives d’apaisement et de réunions familiales, agissent en enfants indignes. Lui et moi devrions être alliés contre eux. Mais il a choisi le camp le plus rémunérateur et le moins honnête…

Comment appelle-t-on ce genre d’avocats ? Je ne peux pas l’écrire ! Ce serait de la « diffamation »… Vive la France !

VI – Me Koerfer est conscient des abus de pouvoir commis par mon frère contre sa cliente et dissimule les faits en justice pour qu’ils puissent continuer

En 2012, venant de découvrir par la tentative d’expulsion que mon frère est devenu tuteur de ma mère, j’attaque cette nomination en cour d’appel car elle lui permet d’abuser impunément de la faiblesse de sa mère avec la complicité de sa sœur. Toutes les pièces jointes, dont les nombreux courriers de mes enfants et moi au juge des tutelles Claude Oesinger restés sans réponse, témoignent de son refus de faire cesser ces abus de faiblesse. La cour d’appel le résume parfaitement :« M Jean-Philippe DE LESPINAY comparant en personne, assisté de son avocat, a exposé (…) sur le fond que le tuteur désigné agit contre la volonté de la majeure protégée, fait preuve d’une absence totale d’objectivité en raison du conflit familial et doit être remplacé par un tuteur ad hoc. »

Dans sa plaidoirie, Me Koerfer ne nie pas ces abus ! Il se contente de réclamer le maintien de mon frère comme tuteur de sa cliente pour la seule raison de « l’irrecevabilité de l’appel formé par M Jean-Philippe DE LESPINAY comme tardif« . En effet, je m’y étais pris trop tard n’ayant pas été notifié de sa décision par le  juge des tutelles. Il cherche donc le vice de procédure pour faire annuler ma demande ce qui est proprement insupportable puisqu’il est là pour protéger ma mère !

Décision cour d'appel cf Charles  tuteur

Bien entendu, là encore le juge déforme mes propos pour pouvoir statuer en faveur de mes adversaires. Alors qu’en préambule il montre qu’il m’a bien compris : M Jean-Philippe DE LESPINAY comparant en personne, assisté de son avocat, a exposé (…) sur le fond que le tuteur désigné agit contre la volonté de la majeure protégée » il le reformule par la suite à l’envers : M. Jean-Philippe de Lespinay expose que la désignation en qualité de tuteur de son frère Charles (…) est de nature à compromettre ses propres intérêts… » Une telle perversité est vraiment incroyable ! Je ne viens plus pour défendre ma mère mais mes propres intérêts ! Cette manipulation lui permet de conclure que « l’appelant ne fait pas la démonstration d’une modification de ses droits et charges ». En effet ! Ce n’était pas mon propos !

En relatant devant le juge les souffrances de ma mère causées par mon frère et ma sœur, je n’ai pu m’empêcher de me mettre à pleurer… Incapable de parler, j’ai du le faire attendre avant de pouvoir reprendre mon récit. Koerfer, qui était présent et m’écoutait cherchant la faille, me regardait… Je me suis demandé ce qu’il pensait de ce signe de sincérité qui ne doit pas arriver tous les jours en cour d’appel et s’il n’allait pas enfin décider d’abandonner sa défense de mon frère pour reprendre celle de ma mère. Mais non. Cet homme n’a pas d’âme.

Koerfer sait que sa cliente est déclarée en situation de faiblesse depuis juin 2010 grâce à l’attestation du médecin qui a recommandé sa mise sous tutelle et que mon frère a obtenu sa tutelle en secret. Il sait que je ne profite pas de cette faiblesse contrairement à mes deux ennemis. Il sait que c’est moi qui lui rends quotidiennement service habitant à côté d’elle. Il a les preuves que j’ai constamment œuvré pour le bien commun de ma mère et même de mes frère et sœur. Il sait que, pour me faire perdre la minorité de blocage, ces derniers ont arraché à ma mère en 2010 une de ses parts de la SCI en faveur de la fille adoptive de mon frère et en faveur d’aucun autre de ses petits-enfants.

Il a pris connaissance de la trentaine de fautes de gestion que je reproche à mon frère gérant de la SCI, dont le refus d’entretenir la propriété et le refus absolu et illégal (par la force s’il le faut) de tenir des assemblées générales annuelles pour faire le point sur sa gestion malhonnête et l’absence de déclarations fiscales. Il voit bien à travers mes écrits en sa possession que mon frère a entrepris, par jalousie, de détruire méthodiquement tout ce que j’avais construit du vivant de notre père, dévalorisant le patrimoine de notre mère.

Surtout, il n’a pu que constater qu’après avoir échoué en référé dans mon expulsion, mon frère et ma sœur se sont bien gardés de reprendre le procès en allant plaider sur le fond, ce qu’aurait fait pour le bien-être de sa mère toute personne persuadée de son bon droit. Sur ses conseils d’ailleurs, très probablement… De même il n’a pu que constater qu’ils se sont bien gardés de m’attaquer en diffamation pour mon blog ! Toujours sur ses conseils, très probablement… Comme « conseil de mon frère et de ma sœur » il sait que la guerre qu’ils me font « de la part de ma mère » n’a pas de motif et les voue à la perte de tous leurs procès.

En dépit de toutes ces évidences, cet avocat étouffe sa conscience et les assiste contre l’allié de sa cliente.

VII – Me Koerfer sait que ces abus font énormément souffrir sa cliente au point de fragiliser sa santé et de la rendre dépressive, mais il œuvre quand même pour qu’elle continue à souffrir et meure à petit feu

Parmi les nombreuses pièces remises à Pascal Koerfer décrivant le calvaire de ma mère une fois débarquée chez mon frère, en voici quelques extraits de la bouche même de ses tortionnaires et qui ne souffrent donc pas la moindre contestation :

Mail de mon frère du 9 mai 2011 : « « Evitez de lui parler de La Mouhée [sa maison en Vendée]. Cela la déstabilise. Après, elle se croit à La Mouhée et perd la tête. C’est ce qui est arrivé lors de sa dernière chute. Elle s’est crue à La Mouhée, pas malade, et a voulu se lever pour quitter sa chambre et aller à la cuisine. Il faut lui rappeler souvent, hélas, qu’elle se trouve à l’hôpital et qu’elle a été opérée. »

Mail de ma sœur du 12 septembre 2011 : « Si Charles quitte la pièce, elle le suit tant l’idée de la solitude l’angoisse »

Mail de mon frère du même jour : « même s’il est naturel qu’elle regrette sa vie antérieure en Vendée »

Mail de mon frère du 8 septembre 2011 adressé à mes enfants, ma sœur et à moi-même : « Maman est déprimée par cette situation [= habiter chez son fils Charles] dont elle est tout à fait consciente. Qu’elle regrette La Mouhée ne change rien à son état et au choix qui a été fait pour y faire face (…) Elle est tracassée par la gêne qu’elle nous occasionne. Chaque appel téléphonique, chaque discussion qui ravive son attachement à La Mouhée lui font du mal puisqu’elle tombe immédiatement en profonde dépression et que nous devons la ramasser à la petite cuiller, sécher ses larmes et lui redonner du tonus. (…) Cessons donc de la tenter avec un retour impossible (…) arrêtez d’importuner Maman au téléphone en lui faisant allécher un retour à La Mouhée, qui est impossible (…) Maman vit maintenant au Moulin [la maison de mon frère] et nous ne reviendrons pas là-dessus, dans son intérêt et afin qu’Elisabeth et moi puissions l’aider. »

Tout est dans ces deux pièces : la preuve que notre mère veut revenir chez elle, sa souffrance chez mon frère où elle se sent mal et se trouve complètement perdue, le refus de mon frère et de ma sœur d’envisager son retour chez elle, le manque d’affection et d’empathie de mon frère pour sa mère et surtout l’absence totale de motif pour la maintenir dans cette souffrance

Pascal Koerfer ne peut donc ignorer la souffrance de sa cliente et ses raisons. Il connaît cet historique :

  1. 25 novembre 2010 : mon frère et ma sœur viennent chercher notre mère pour l’emmener vivre chez mon frère à 450 km de chez elle
  2. 25 avril 2011 : chez mon frère, elle se casse le col du fémur suite à quoi elle va passer la moitié du reste de sa vie à l’hôpital loin de tous
  3. Mai-septembre 2011 : mon frère et ma sœur attestent eux-mêmes les souffrances morales de notre mère causées par son exil
  4. Avril 2012, Koerfer conduit deux procès contraires aux intérêts de sa cliente : mon expulsion et le maintien de mon frère comme tuteur
  5. 27 septembre 2012 : le tribunal de la Roche sur Yon déclare en référé que mon expulsion plaidée par Koerfer est voulue par mon frère donc pas par sa cliente
  6. Le 30 janvier 2013 la cour d’appel déplore la nomination secrète de mon frère comme tuteur de sa mère, erreur automatiquement génératrice d’abus de faiblesse de sa part
  7. Un mois plus tard, le 8 mars 2013, ma mère meurt dans un hôpital à 450 km de chez elle. Seule, loin de ses enfants, de ses petits-enfants et de ses amis. Exactement comme je l’avais prédit en novembre 2010 et communiqué au procureur quand j’ai découvert que mon frère et ma sœur l’enlevaient de chez elle.
  8. Le 4 octobre 2013 Koerfer semble avoir déjà oublié la mort de sa cliente et son rôle dans ses malheurs : il clame « officiellement » que mon frère et ma sœur sont depuis toujours ses clients, pas elle…

Vous comprendrez qu’il est impossible de pardonner à un tel avocat. Je vous invite à ne jamais solliciter ses services. Sauf bien entendu si vous avez besoin du « côté obscur de la force »…

VIII – Pour en finir avec les calomnies propagées par mon frère et ma sœur

Il y a dans ma famille des cousins, des oncles et des tantes assez bêtes pour croire que j’ai réellement persécuté ma mère. Pourtant, Koerfer, qui dispose de toutes les pièces, n’a jamais osé aller jusque là devant les juges. Cela devrait suffire à tous ces parents pour déterminer où sont les vrais coupables dans ma famille. Certains ont même été jusqu’à rédiger des témoignages contre moi sur la foi des dires de mes deux ennemis, sans me consulter.

– après la mort de mon père (mars 2008), ma mère exprime son désir que je reste près d’elle en me versant 200 €/mois « tant que je reste à la Mouhée » (pension que mon frère me supprimera quand il sera tuteur pour m’inciter à partir…)

– un peu plus tard elle écrit dans son testament que je suis très gentil et serviable depuis que mon père est mort et qu’elle m’en remercie :

 Maman me trouve gentil dans son testament de 2008

– Plus révélateur encore, quelques jours avant son exil forcé loin de son foyer (soit deux ans après la mort de son époux), elle me confirme son affection tout en sanctionnant mon frère : elle me donne le samovar de famille en argent que j’aimais tant et qu’elle lui destinait en héritage, me disant :« Pour être venu me chercher à l’hôpital ! » Je lui réponds que j’ai fait ce que tout fils normal ferait, qu’il doit y avoir erreur, ça ne mérite pas un si beau cadeau. Mais elle répète encore en insistant « Pour être venu me chercher à l’hôpital ! » Et là, je comprends qu’il y a un message mais je ne vois pas lequel… Par contre mon frère et ma sœur, présents tous les deux, savent visiblement pourquoi. Tous penauds ils ne disent pas un mot ! Ce qui m’intrigue dans sa façon de m’offrir ce samovar c’est l’autorité soudaine qu’elle montre devant eux, comme dans le bon vieux temps, surprenante de la part d’une personne sous leur influence. Elle voulait punir mon frère. Mais de quoi ? Je crois qu’en m’offrant ce samovar que je lui avais toujours demandé, elle punit mon frère de lui avoir seriné à l’infini cet affreux mensonge qu’elle doit abandonner sa maison pour s’éloigner de moi car je ne l’aime pas et la persécute. Mensonge que ma sœur et lui ont d’ailleurs répété à la terre entière ! Or, pendant ce voyage depuis l’hôpital, une demi-heure de route, elle a senti l’affection sincère d’un fils et d’une petite-fille qu’elle allait perdre en partant de chez elle.

Et pourtant depuis un an, sous l’influence de mon frère et de ma sœur, elle me persécutait ! Je devais prendre sur moi pour me persuader qu’elle ne faisait pas exprès et se contentait d’exécuter leurs ordres. Voici quelques exemples de ses vacheries :

  • m’assener que mon frère et à ma sœur ont bien raison en me laissant seul, sans me le dire ni me prévenir, pour recevoir la première grande réunion de famille Lespinay de notre histoire et prononcer un discours sur notre ancêtre Jean de Lespinay (trésorier de la Duchesse Anne de Bretagne) que je n’ai bien entendu pas préparé. « Ils ont autre chose à faire et les Lespinay on s’en fiche ! » dit-elle (Énormités qu’elle vient d’entendre de la bouche de ma sœur, premier signe indubitable qu’elle est sous son influence dès juillet 2008, quatre mois après la mort de son mari)
  • aller à ma banque avec mon frère et ma sœur pour fermer mon compte en banque, sans me prévenir (comme dab !)
  • me retirer toute possibilité de gérer la propriété où nous vivons alors qu’elle est incapable de le faire (repris par mon frère qui ne fait rien)
  • fermer sa porte à clé « pour que je ne la vole pas »
  • me dire que mon divorce c’était bien de ma faute et qu’elle plaint mon ex-épouse de m’avoir eu comme mari
  • donner tous ses pouvoirs à mon frère (gérant, tuteur, fondé de pouvoir, exécuteur testamentaire) pour qu’il puisse me persécuter
  • m’adresser un recommandé pour me reprocher de prendre des décisions dans la propriété sans en avoir le droit (cosignée par mon frère « gérant de la SCI »)
  • aller à la gendarmerie (forcée par mon frère qui la conduit) pour porter plainte contre moi pour abus de faiblesse !
  • condamner la Mouhée avec mon frère, lieu de l’assemblée générale de la SCI que j’ai convoquée puisqu’il se refuse à le faire lui-même, pour que je trouve porte close et que la réunion ne puisse avoir lieu (bien entendu ma sœur étant au courant elle n’est pas venue)
  • me seriner « je te coupe Internet ! » alors qu’elle ne sait pas ce que c’est (mais mon frère et ma sœur, eux, le savent ! Ils ne veulent pas que je puisse contrôler par Internet le compte en banque et l’argent qu’ils se versent)
  • Etc.

Et jamais elle en s’excusait ensuite. Vous devinez que je ne devais pas rigoler tous les jours. Mais je m’efforçais de rester le bon fils dont elle avait besoin. Je n’avais pas envie d’aller la chercher à l’hôpital pour risquer de me faire à nouveau insulter. Elle pouvait revenir en taxi ou en ambulance. Mais… j’avais senti au téléphone que c’était important pour elle que je vienne et je m’étais finalement forcé à faire le voyage.

Peut-être aussi ma mère avait-elle voulu punir mon frère et ma sœur car elle venait de découvrir qu’elle avait été trompée. Elle ne partait pas pour habiter chez sa fille chérie mais chez mon frère. Et ça, objectivement, ce n’était pas marrant !

Quant au choix du cadeau, pris sur l’héritage de mon frère, il était significatif. Elle avait bien vu qu’ils avaient pillé sa maison dans son dos (et dans le mien !) de tous les objets de valeur. Elle cherchait à rétablir un début d’équilibre. Une fois notre mère enlevée de chez elle, ils avaient verrouillé les portes pour que je ne puisse constater les vols. Quelle stupidité ! Cela m’incitait au contraire à aller regarder. Mais j’avais pris ça pour une brimade de plus et j’avais attendu un an avant d’y pénétrer pour voir dans quel état était la maison, faisant changer la serrure. Constatant le pillage, j’ai porté plainte contre eux pour tenter de récupérer ce qu’ils avaient pris. Sacrée famille !

Ci-dessous, pour mes cousins Saint Thomas, des témoignages d’ordre privé que je mets là pour que je ne découvre plus par ouï-dire que je l’ai persécutée au point qu’elle a quitté la Mouhée pour me fuir.

Don du samovar à Charles ds testament originel de Maman

Extrait du testament de ma mère donnant le samovar à mon frère (Noël 2003)

Attestation Mioup cf samovar (partiel)

Attestation signée par ma mère le 15 novembre 2010, dix jours avant son départ en exil chez mon frère, qui me donne son samovar (notez l’écriture décidée qui montre qu’elle n’est pas contrainte, contrairement au testament que mon frère et ma sœur lui dicteront après son départ)

Le samovar de Maman

Le samovar, preuve de l’affection de ma mère jusqu’au dernier moment et punition contre mon frère Charles (valeur : 5 000 à 6 000 € selon un commissaire priseur)

Sachez qu’en vertu du principe « la critique est aisée mais l’art est difficile », je ne me contente pas de gueuler ! Mes mésaventures m’ont poussé à imaginer une solution pour le bien de l’humanité : un nouveau système judiciaire, que j’ai inclus dans une « constitution démocratique » de mon cru. Vous me direz ce que vous en pensez.

Revenons à Koerfer. Une fois chez mon frère, ma mère et moi sommes devenus alliés contre ses deux ex-complices. Elle voulait revenir mais eux s’y refusaient. Et ça, cet avocat le savait au vu de tous nos échanges d’emails que j’avais transmis au procès. Ne pouvant démontrer le moindre conflit entre ma mère et moi, convaincu que tout va bien entre nous, il évite de l’interroger sur ses volontés, assuré qu’elle lui donnera des consignes contraires aux intérêts de ses deux clients occultes. Il n’a donc présenté à la justice aucun ordre de mission de ma mère, sa cliente, ni même aucun écrit de sa part ressemblant à l’envie de me nuire. De plus, il évite soigneusement dans ses plaidoiries de répondre à la question des abus de faiblesse que, moi, je mets constamment en avant…

Voilà le résultat : faute d’être protégée par son avocat, ma mère va se retrouver livrée aux mains de deux escrocs sans pitié, dans la spirale infernale des séjours en hôpitaux et cliniques qui la tuent sans cesse davantage et lui font perdre la mémoire, qui s’achève dans une maison de retraite paumée loin de tout et de ceux qu’elle aime, enfants, petits-enfants, amies vendéennes et parisiennes. Elle va y mourir faute de soins adaptés. Son médecin, le Dr Decruyenaere, également médecin de mon frère, refuse de m’informer sur son état de santé, interdit ses enfants et petits-enfants de venir la voir à plus de cinq,refuse de me dire si elle est en état de revenir chez elle, et vient si rarement qu’il a détecté trop tard la gravité de son état. Qui se ressemble s’assemble !

Encore merci Pascal Koerfer !

Notre président Hollande ayant décidé de réformer les professions réglementées qui sont, rappelons-le, des fonctionnaires ayant le droit de faire des profits (notaires, avocats, pharmaciens, huissiers, médecins, administrateurs judiciaires-liquidateurs, etc.), nous avons en ce moment droit aux grèves de ces « pauvres malheureux » sur toute la France. A rapprocher des grèves des pilotes d’Air France, autres « pauvres malheureux » assimilables également à des fonctionnaires qui sont prêts à couler leur entreprise plutôt que de la laisser s’adapter à la concurrence internationale par la création d’une filiale low cost. Et pourquoi ? Pour ne pas courir le risque que les augmentations de leurs pharamineux salaires, qui plombent le bilan d’Air France, puissent un jour être réduites !

Pendant ce temps on notera que les employés du privé de France, beaucoup plus nombreux, pourraient eux aussi faire grève pour recevoir des augmentations. Avec la certitude que les patrons seraient contraints de plier. Pourtant ils ne le font pas. Pourquoi ? Parce qu’ils ont le sens des responsabilités et qu’ils sont plus intelligents. Ils ne veulent pas mettre l’entreprise qui les nourrit en difficulté. Ils ne sont pas fonctionnaires…

Pourtant la réforme proposée pour les professions réglementées n’inclut pas l’essentiel que nous attendons tous : la fin de leur immunité face à la justice. Ces professions sont des foyers de corruption, comme l’administration française en général, car elles sont quasi-assurées de ne pouvoir être condamnées devant un tribunal (sauf faute grave et encore !). Face à cette insupportable injustice, la France s’est couverte d’associations de lutte contre les notaires, contre les avocats, contre les huissiers, contre les liquidateurs, etc. Elles aident bénévolement les justiciables face aux escrocs des professions réglementées.

Prenons mon cas : dans la guerre qui m’oppose à mon frère et à ma sœur (voir dans ce blog depuis 2011 : « Un juge accorde la tutelle de ma mère à mon frère, en secret !« ) je suis actuellement face à la corruption de leur notaire et de leur avocat. Qui se ressemble s’assemble ! Comme le prévoit la loi, j’ai donc demandé des sanctions contre eux auprès de leurs patrons officiels, le président de l’association des notaires et le bâtonnier. En pure perte vous allez voir. Comme ce fut déjà le cas en 2006 (voyez dans mon blog « 2006 – Yann Villatte, avocat et Bâtonnier de Nantes : comment condamner publiquement et sans risque un magistrat corrompu« ).

En effet, le problème franco-français c’est que le président de l’association des notaires est… notaire ! Qui plus est élu par ses collègues notaires de sa région ! Et que le bâtonnier est… avocat ! Élu par ses collègues avocats de sa région ! Comment pourraient-ils condamner ceux qui les ont élus ? Surtout qu’ils ont bien évidemment été choisis pour leur innocuité ! Ces « professions réglementées » ne vont sûrement pas élire un homme intègre. Il serait capable de les sanctionner. Tout ce petit monde se tient par la barbichette. On est en démocratie tout de même !

L’État est parfaitement conscient de cette stupidité et en rajoute pour faire de ces professions réglementées des « professions protégées ». Par exemple, si vous voulez contester la décision d’un bâtonnier il faut aller directement auprès de la cour d’appel ! Vous n’avez pas le droit au premier niveau de justice imposé à tout le monde, celui qui peut être contesté. Donc, dans le droit français un avocat-bâtonnier est considéré comme l’égal d’un juge. Juge et partie, oui ! Quand au choix de la cour d’appel il n’est pas anodin. On ne peut en contester les jugements car il n’y a pas de tribunal au-dessus. Or les cours d’appel, vous en trouverez plusieurs exemples dans mon blog, comme elles n’ont pas de comptes à rendre, ce sont des organisations politisées et le plus souvent corrompues. Au-dessus, on ne trouve que la cour de cassation, qui ne peut juger que la forme des jugements des cours d’appel, pas le fond ! C’est bien commode. Donc pour le fond c’est foutu pour les justiciables face aux bâtonniers, ils peuvent compter sur les juges d’appel pour protéger ces copains fonctionnaires des attaques provenant du secteur privé.

La vraie réforme que nous attendons dans les « professions réglementées » c’est qu’elles soient jugées comme les autres citoyens, c’est à dire avec équité et par des juges professionnels.

Maintenant, voyons dans les articles qui vont suivre la démonstration de la corruption notaires et avocats à travers mon propre cas.

Je rencontre Mme Chaigneau quatre fois …sans jamais la reconnaître

Je retrouve la véreuse avocate Mme Chaigneau en 2009 à la Roche-sur-Yon (Vendée), face au juge de surendettement. En effet, contraint et forcé, j’ai du accepter sa facture et la mettre dans le plan de surendettement. Elle s’est donné la peine de faire le trajet jusqu’à la Roche-sur-Yon pour distiller son poison dans l’oreille de la juge (car c’est une femme). Avant l’audience, pendant que je poireaute dans le hall à attendre mon avocate, Me Amélie Gizard, commise d’office par l’aide juridictionnelle, je vois une femme entrer dans le bureau de la juge et y rester au moins une demi-heure, jusqu’à ce que mon avocate arrive et que nous puissions entrer.Quand nous pénétrons dans le bureau de la juge, je découvre la femme penchée contre l’oreille de la juge en train de lui faire des confidences. À mon entrée, elle se tait immédiatement et se remet à sa place. Il n’y a pas de plus clair aveu… Je la regarde attentivement, cherchant à comprendre ce qu’elle fait là. C’est une petite vieille vêtue de sombre, au visage ingrat, crispée et grise, insignifiante. Quand je commence à exposer ma situation financière, elle me contredit brutalement, sans se présenter, avec mépris, invoquant des arguments sans preuve du genre « Tout le monde sait que M. de Lespinay dissimule de nombreux et importants revenus ». La juge me regarde avec hostilité et la laisse dire. Je me sens comme un violeur multirécidiviste… Mon avocate, elle, se tait… Je commence à nier, mais la juge me coupe à son tour la parole, m’affirmant que je gagne beaucoup plus d’argent que je veux bien l’avouer ! Je suis interloqué par ce parti-pris auquel je ne vois pas comment répondre. Comment démontrer rapidement que quelque chose n’existe pas ? Toute contente de son succès, la femme inconnue revient à la charge et sort, heureusement, une grosse accusation qui ne tient pas debout. Je démontre sans peine son « erreur ». Apparemment, je viens sans le savoir de produire l’argument-clé qui détruit tout ce qu’elle a distillé dans l’oreille du juge pendant mon absence. Pour la première fois, la juge me regarde, ébranlée, et semble disposée à m’écouter. Je démolis alors un à un les arguments à charge de l’inconnue, essayant d’avoir l’air le plus honnête possible pour ne pas la replonger dans le sentiment que je suis un escroc et que je cherche à l’embobiner… L’attitude du juge change, elle m’interroge maintenant sincèrement. C’est la première fois que je vois un juge désireux de faire la part du vrai et du faux ! Vous voyez, tout arrive à qui sait attendre !  Il est vrai que nous sommesen Vendéeet que le climat y est radicalement opposé à la corruption nantaise.

A la sortie du bureau du juge, je m’offusque auprès de mon avocate qu’une adversaire ait pu impunément chauffer à blanc le juge si longtemps hors de notre présence. Elle sourit mais ne répond pas… Je vais mettre plusieurs jours à déduire que cette femme inconnue, la « petite vieille au visage ingrat, crispée et grise, insignifiante », ne pouvait être que Mme Chaigneau… Mais j’en doute encore car je ne l’ai pas reconnue et j’ai pourtant travaillée avec elle il y a quatre ans. Je demande à mon avocate de me confirmer ce soupçon. Avec mauvaise grâce, elle finit par convenir que, oui, probablement, c’était elle. Je m’étonne de son manque d’esprit de collaboration mais, les avocats commis d’office au titre de l’aide juridictionnelle ne sont jamais des flèches alors je ne relève pas.

Lors du second rendez-vous avec le juge, je poireaute une demi-heure comme d’habitude devant son bureau, dans l’attente de l’arrivée de mon avocate systématiquement en retard. Cette fois-ci, me dis-je, si la femme inconnue se re-pointe, je vais bien la dévisager pour me la remettre en mémoire. Soudain, une vieille ressemblant à celle de la dernière fois passe devant moi et entre dans le bureau de la juge. Je ne l’ai toujours pas reconnue… Puis, après dix minutes, elle ressort et passe devant moi, le visage toujours fermé, sans me jeter un regard. Je ne la reconnais toujours pas ! Et pourtant, c’est elle assurément, les dossiers et la suite de mes mésaventures vont le confirmer.

Pourquoi tant insister sur cette drôle expérience ?  Parce qu’elle démontre que cette adversaire est insignifiante au point que son visage n’a pas imprimé ma mémoire. C’est la même expérience qu’avec Vercelletto, que je n’ai pas reconnu tellement ce petit personnage est insignifiant. Ce que je voudrais que vous reteniez pour la suite du livre, c’est que mes adversaires sont anormalement anonymes ou insignifiants. Dans un monde normal, ils seraient trop faibles pour pouvoir me faire du mal. Mais nous sommes en France, un monde très particulier où ils sont unis dans une même franc-maçonnerie qui détient le pouvoir de faire du mal aux individus isolés, donc sans défense, qui les dérangent par une supériorité évidente…La source du désir mimétique.

Déclaration anonyme de faux créanciers supplémentaires au Service Surendettement

Vous aurez remarqué l’attitude peu coopérative de ma propre avocate, Amélie Gizard. Je ne m’en offusque pas étant donné qu’elle ne traite que des dossiers financés par l’aide juridictionnelle. Cela suppose que, si elle ne coûte pas cher, par contre elle n’est pas une bonne avocate. Les bons refusent l’aide juridictionnelle, qui les paie mal et en retard. Pourtant elle m’agace par bien d’autres travers : elle ne répond pas au téléphone, ne rappelle jamais, égare les pièces que je lui transmet par fax, met plus d’un mois à me répondre et le fait de travers, ce qui m’oblige à lui réécrire en lui reposant les mêmes questions. A part ça, elle est gentille et souriante, les reproches timides que je lui fais glissent sur elle comme l’eau sur les plumes d’un canard et elle travaille malgré tout. Son manque de professionnalisme va cependant se révéler dans un épisode troublant : dans mon plan de surendettement, il y a les créanciers que j’ai déclarés. Or, soudain, apparaissent parmi eux de nouveaux créanciers sans qu’elle s’en aperçoive ! Et parmi eux deux de mes anciens avocats, Me Boreau et Me Maillard ! En même temps que ma personne, la cour d’appel convoque en recommandé tous mes créanciers pour décider du plan de remboursement. Me Boreau ne répond pas. La cour me demande donc de la convoquer à mon tour. C’est ainsi que je découvre qu’on m’a rajouté de faux créanciers. Je réponds dans un courrier que je n’en vois pas l’intérêt, cette personne n’étant pas créancière et ayant été ajoutée clandestinement par une personne mal intentionnée. J’ajoute que, si la cour d’appel n’a pas réussi à obtenir une réponse, ce n’est pas moi qui vais en recevoir une et que je ne souhaite pas avoir à payer un recommandé inutile étant déjà en surendettement. La cour ne répond pas… Mais en audience, elle me reproche de n’avoir pas convoqué Me Boreau et décide la suspension de mon surendettement !

Je reste persuadé que je dois l’ajout de ces créanciers à Mme Chaigneau mais je ne peux pas le prouver.

Furieux de ce casier judiciaire dont je n’ai jamais eu copie, j’en demande explication à Me Maillard. Il m’explique que c’est tout naturel : c’est le « bulletin n° 1 »,  une version de mon casier interdite à l’intéressé, que seuls les avocats et les magistrats peuvent en avoir connaissance. Oui, sauf qu’il est lu en public par le juge devant le plaignant ! Tout le monde découvre alors en même temps ce qui est censé être tenu secret. Mais qu’est-ce que c’est que cette justice de merde qui cache aux citoyens ce que des fonctionnaires et des avocats ont droit de lire sur eux ! Je croyais qu’il y avait une loi Informatique et Liberté défendue par la CNIL, censée justement empêcher l’existence de tels fichiers parallèles ! J’obtiens de Me Maillard qu’il me communique le contenu de ce bulletin n° 1, que je sois enfin au courant. Le voilà ci-dessous. Puisqu’il est devenu public grâce au juge Beuzit, vous avez le droit de savoir…

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En somme, on retrouve dans ce casier judiciaire secret toutes les condamnations pénales frauduleuses qui m’ont frappé… Elles servent aux juges corrompus à me présenter au public dans la salle sous un angle peu flatteur, pour pouvoir mieux ensuite me condamner en « toute bonne foi » (Sauvaget, Beuzit). Il y a même la condamnation du « gentil » juge Petit, avec sursis et réputée non avenue, c’est-à-dire devenue inexistante, toujours consignée là pour l’éternité et l’édification des foules ! E-cœu-rant !

Me Maillard satisfait bien que mon adversaire ait gagné !

Voilà comment Me Maillard me présente mon jugement en appel suite à ma condamnation en 1ère instance pour avoir porté plainte contre Martins pour agression à coups de tournevis :

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Il trouve donc « très positif » que :

1) la justice ait reconnu l’évidence, à savoir qu’elle ne me condamne plus pour avoir porté plainte à raison contre un agresseur

2) que l’agresseur ne soit pas condamné pour son agression désormais reconnue !

3) que, l’agression contre moi étant reconnue, je n’obtienne aucun dommages et intérêts (ce qu’il appelle pudiquement « constitution de partie civile »)

4) que, pire encore, je sois condamné aux dépends, c’est à dire que, bien que la culpabilité de l’agresseur soit reconnue, il ne soit pas condamné comme c’est l’usage à supporter les charges que j’ai engagées pour ce procès à Rennes alors que j’habite en Vendée !

Furieux de n’avoir pas obtenu de dommages et intérêts de Martins, d’être condamné aux dépends et de voir Maillard si content de ce résultat nul, je l’appelle au téléphone. Il ne comprend pas ma déception ! Il me faut argumenter longuement avec lui, à la limite de l’impolitesse car il n’a pas envie de prolonger l’entretien. Enfin, il finit par reconnaître, à contrecœur, que ma position consistant à dire que c’est Martins qui a finalement gagné peut se comprendre. Cet aveuglement de la part d’un homme intelligent m’étonne vraiment. Peut-on être aveugle à ce point-là ? Ou se fiche-t-il carrément de ma gueule ? Avec le recul, je serai  persuadé en 2009 d’avoir eu affaire à un ripou de plus…

Me Maillard prétend ne détecter aucune corruption chez mes juges depuis 8 ans !

Quoique déçu de la cécité de Maillard, je reste convaincu qu’il est intelligent, compétent et qu’il a le bras long. Je lui demande s’il accepte de tenter de démontrer que mon interdiction de gérer a été obtenue par la fraude d’un ennemi personnel, le juge Vercelletto, qui aurait du se désister. Il ne dit pas non et me réclame le dossier pour se faire une idée. Fin janvier 2008, je lui adresse toutes les pièces de la procédure sur mon interdiction de gérer. Je lui ai tellement parlé de cette histoire que je m’attends à ce qu’il retrouve sans difficulté dans ces pièces la preuve des magouilles dont j’ai été l’objet et qu’il abonde dans mon sens. Voilà sa réponse (7 février) après lecture de ce gros dossier : « le simple fait d’évoquer un manquement au principe du contradictoire au motif que le juge commissaire n’avait pas communiqué son rapport écrit aux parties, alors que la législation prévoit qu’il n’y était pas tenu, n’est pas, à mon sens, suffisant pour engager un recours devant la Cour de Justice Européenne. » Il en conclut qu’il ne voit pas d’autre possibilité que de faire une demande de relèvement de l’interdiction d’exercer en démontrant ma capacité à exercer et une « contribution suffisante au comblement du passif ». C’est là toute sa réaction aux innombrables exemples de magouilles qu’il a sous les yeux ! Il se fiche de moi ou quoi ? Je lui parle de corruption, il se garde d’y faire référence et il répond à côté. Très déçu, je lui téléphone pour obtenir des explications. Il me dit alors qu’il n’a rien trouvé dans mon dossier qui puisse laisser deviner la présence de corruption ! Abasourdi, je lui répète une fois de plus tout ce qu’il aurait du lire dans les pièces que je lui ai fournies. Encore une fois, il ne comprend pas ! Pour lui, il n’y a nulle part une manœuvre quelconque… Très troublé par cette position apparemment sincère, je réfléchis pour savoir s’il n’est pas en train de me mentir effrontément. Un argument va dans ce sens : il ne tente pas de me convaincre ! Il ne développe aucune argumentation. C’est ce qui est frustrant. Lassé de sa résistance passive, je lui demande de ré aborder le dossier, cette fois sous l’angle de la corruption des juges. Voilà ce qu’il m’écrit :

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Je commence à me dire que l’on peut difficilement garder et payer un avocat qui ne se révèle pas de son côté. Finalement, lorsqu’il m’écrit que mes procès ont été « équitables », je pète un plomb et lui rédige un courrier de mise au point définitive, dans lequel je lui reproche de me prendre pour un imbécile et de se comporter en allié objectif de mes adversaires. Il n’est pas question de continuer à le payer s’il persiste à ne reconnaître aucune corruption chez mes juges. Je conclus ainsi (5 avril) : « Si vous êtes quelqu’un de bien, prouvez-le ou désistez-vous ». Le 8 avril, il prend « l’initiative » de se désister ! Il n’est donc pas quelqu’un de bien…

A l’époque, j’ai pris cet aveuglement permanent de Maillard pour de la cécité mentale tellement j’étais convaincu de son honnêteté. Aujourd’hui, après relecture de nos échanges et analyse critique, je dois convenir qu’il est bien trop intelligent pour ne pas avoir vu les mêmes choses que moi. Le fait qu’il se soit il s’est constamment refusé à en parler, à avouer que j’avais peut-être été un peu maltraité ou même que je n’avais pas eu de chance ! Il n’a pas émis un avis sur ma plainte en forfaiture contre Castagné, ne serait-ce que pour le défendre… Sans oublier qu’il avait trouvé « très positif » le jugement de la cour d’appel de Rennes qui m’avait en fait condamné pour des « errements de conduite » inventés ! Il n’y a qu’une seule conclusion possible, à laquelle j’arrive à contrecœur : Me Maillard est exactement aussi corrompu que les juges à qui il accorde si facilement l’absolution. Mais il m’a inspiré confiance car il n’a apparemment pas conscience de la gravité de son état. Il est de fait de l’autre côté de la barrière : du côté des fonctionnaires du système judiciaire. Il n’y a plus rien d’une profession libérale privée chez lui.