Préambule : cet article est en fait une rectification du précédent écrit sur cet avocat en 2016, quand je me suis rendu compte que ses « oublis » étaient volontaires : 2016 – Jean-Claude Lhommeau, avocat sympa mais, par son inertie et ses oublis graves, il me fait doublement condamner

I – Jean-Claude Lhommeau, un vrai salaud

J’écris cet article sur le coup de la colère ! Je viens de découvrir que Jean-Claude Lhommeau, l’avocat qui m’a brutalement lâché en me faisant perdre deux procès n’était pas en difficulté comme je le croyais mais l’a fait pour se lancer en politique dans la périphérie de Nantes : Municipales à Sautron. Jean-Claude Lhommeau, candidat de la droite patriote. Sur la photo il est à droite. Il a l’air bien innocent n(‘est-ce pas ? C’est comme ça qu’il m’a trompé.

J’avais pris cet avocat conseillé par l’AFUB (Association Française des Usagers de Banques) pour faire rendre gorge à la Caisse d’Épargne, cette fameuse banque qui m’avait interdit bancaire quand j’avais porté plainte contre elle pour les faux chèques qu’elle émettait sur mon compte pour le mettre en découvert. Il était réputé très compétent pour résoudre les conflits bancaires. En fait, il n’est jamais arrivé au terme de quoi que ce soit ! Ce fut une catastrophe et je ne suis pas loin de penser, vu le gigantisme et la répétition de ses erreurs, que ce fut exprès. Après tout, il avait des ambitions politiques, donc des compromissions politiques.

Je raconte son incurie dans cet article de 2016. A cause de lui je suis deux fois définitivement condamné et les juges par la suite ont bon jeu d’invoquer « l’autorité de la chose jugée » pour m’enfoncer davantage. Quant à la Société de Courtage du Barreau, chargée d’indemniser les victimes d’avocats, donc moi-même, c’est une véritable escroquerie ! Elle refuse d’indemniser réclamant sans cesse des pièces inutiles que le client n’a pas toujours puisqu’elles sont entre les mains de l’avocat en faillite qui lui refuse de les communiquer, et alors qu’elle dispose de l’entièreté des dossiers chez les bâtonniers et par l’intranet des avocats. Une escroquerie officielle, de plus, bien entendu jamais sanctionnée par la justice qui préfère s’attaquer aux citoyens innocents comme moi. On est en France !

II – Comment un avocat plante et ruine un client en toute impunité

En 2017, donc, Lhommeau « oublie » les pièces à transmettre dans deux procès au civil, puis « oublie » de faire appel malgré mes injonctions répétées et inquiètes. Il ne peut que l’avoir fait exprès…

Fin 2015, conseillé par Lhommeau, je paie 3 000 € pour me porter partie civile dans deux procédures au pénal contre trois adversaires : mon frère et ma sœur qui ont pillé les biens de famille dans la demeure de ma mère et refusent de les restituer, et le notaire corrompu Lafouge, notaire de la succession donc mon notaire mais surtout en cachette leur notaire « personnel ». Jouant de sa fonction d’officier ministériel, il impressionne les tiers (assurance, huissiers, greffe du tribunal, etc.) par la rédaction de faux documents qui me dépouillent au profit de mes deux adversaires.

Grâce à cette consignation ruineuse de 3 000 €, je suis convoqué le 5 janvier 2016 par un juge d’instruction, M. Nicolas Pautrat. Il m’accueille dans un bureau flanqué de deux assesseurs, tout ce petit monde me regardant curieusement. Il me demande quand va arriver Me Lhommeau. Je lui réponds qu’il ne viendra pas. Pas content, le juge me dit qu’il devrait être là, que c’est un grave manquement et qu’il a d’ailleurs des reproches importants à lui faire. En effet, tout le dossier qu’il lui a transmis était ou bien prescrit ou bien ne relevait pas du pénal ! Il aurait aimé jeter ça la face de cet avocat incompétent qui lui avait fait perdre son temps. J’ai du retirer mes plaintes. Lhommeau savait sûrement qu’il m’avait grugé, c’est pour ça qu’il ne tenait pas à être présent. Il m’a donc volontairement fait perdre 3 000 € !

En 2014, dans le procès en diffamation intenté contre moi par Pascal Koerfer, Lhommeau « oublie » de remettre ses conclusions au tribunal à la date ultime autorisée ! J’ai donc perdu, je vais être condamné. Heureusement, je suis très bien conseillé par le postulant de Paris qui appartient à un cabinet célèbre dont le patron est connu pour son appartenance à la franc-maçonnerie. Il me conseille de virer Lhommeau, ce qui stoppera le procès car on ne me peut me juger en diffamation sans avocat. Puis de le reprendre un mois plus tard ! Lhommeau accepte le deal, probablement impressionné par la notoriété du cabinet du postulant. C’est donc ce que je fais, tout ébahi par ces arcanes de la justice à la française. Cette fois, il marche droit. IL faut dire que je veille à ce que cette fois-ci il remette ses conclusions avant expiration du délai. Et je gagne !

Quand j’ai découvert que Lhommeau avait fermé son cabinet me laissant dans la m… ouise, je me suis dit que cela devait être dû à son âge. Le pauvre, pour commettre tant d’oublis il devait perdre la boule ! Le bâtonnier n’arrive pas à obtenir mon dossier, Lhommeau est aux abonnés absents, mon nouvel avocat n’arrive pas à obtenir les pièces en sa possession. Je me disais « qu’il est bordélique ! »

Et puis, voilà qu’en 2019 je découvre dans un journal qu’il se présente tout fringant comme maire à Sautron (près de Nantes) ! Il a planté ses clients comme un malpropre pour s’embarquer dans la corruption politicienne ! Je réalise soudain qu’il m’a peut-être fait tomber dans tant de chausse-trappes volontairement, par solidarité avec la mafia de copains politiciens hauts fonctionnaires, celle qui veut ma peau depuis trente ans (voyez Anticor) ?

Du coup, je me fends de cet article pour que tout le monde sache que Jean-Claude Lhommeau est un corrompu de plus rencontré sur ma route.